In this article I shall confine my remarks almost exclusively to that portion of South Africa south of the Zambezi and the Kunene rivers, a territory comprising the Union of South Africa, South-West Africa, Bechwanaland, Southern Rhodesia, and the southern portion of Portuguese East Africa. In this large area, quite apart from the European languages used, we have representatives of three distinct linguistic types. Two of these types, the Bushman and the Hottentot, will not delay us any length of time; but the third, the Bantu, presents many difficulties at this stage of the opening up of Africa to European civilization, difficulties which the missionary societies, the European administrations, and the Natives themselves are beginning to face, difficulties which are bound up inextricably with questions of economics, sentiment, and growing racial consciousness. The work of the linguist in this connexion is not eased by the fact that this area is not under one administration, and I fear that some of the movements towards a unification and centralization of some of the languages will be hampered for this reason.

Ibadan is said to be the largest town in tropical Africa and is widely known as a rail and road junction, an air-port, and a large commercial and marketing centre. Ibadan is also a centre for education: it possesses primary, secondary, and training schools of various types, and has been chosen as the site of the new University College. There are about 50 churches in the town, and hundreds of mosques.

Il faut sans doute compter les tribus du sud-ouest de l'Angola, c'est-à-dire les Ambo et puis toutes les petites peuplades qui habitent le pays qui s'étend de la mer jusqu'au Kunene à partir du 14° 30′ de latitude sud jusqu'à la frontière et au delà, parmi celles qui opposent le plus de résistance à la pénétration de la civilisation européenne. Encore y a-t-il sous ce rapport des différences assez notables entre elles. Tous ces peuples sont à la fois éleveurs de bétail et agriculteurs, sauf les Kuvale d'en bas des montagnes de la Chela, proches parents des Herero, qui se dédient uniquement à l'élevage. En laissant donc de côté cette dernière tribu, qui est du reste numériquement de peu d'importance, il nous reste pour l'ensemble de ces peuples au point de vue de la culture matérielle une homogénéité assez grande. Leur attitude différente en face de la civilisation européenne est d'autant plus curieuse. Les plus réfractaires sont sans doute les Nyaneka de la région de Huila et Gambos. Bien que, par endroits, leur pays soit occupé depuis des années par beaucoup de colons blancs, ils n'ont presque rien modifié dans leurs coutumes ancestrales. Les Ambo par contre, ayant été beaucoup moins soumis à l'influence directe des Blancs, ont cédé plus facilement sur certains points. Il serait certes intéressant d'étudier à ce point de vue ces divers peuples et de tâcher d'expliquer la raison de leur attitude — les raisons en seront surtout d'ordre psychologique — mais pour pouvoir donner des conclusions sérieuses, il faudrait une connaissance profonde puisée au contact direct de tous ces peuples. Comme cette condition préalable n'est pas réalisée pour le moment, le présent article ne comprend directement que les Ambo et plus particulièrement la tribu la plus importante de ce groupe, celle des Kwanyama.

The material for this study was collected during the first two months of 1954, while camping in a Cokwe village about 50 miles north-east of Vila Luso in the administrative area of Camanongue, County and District of Moxico, Province of Bié, Angola. My chief informant was Sr. Francisco Casueka, aged 44, a Cokwe- and Portuguese-speaking African from the printing press at Boma Mission near Vila Luso. He was the ablest assistant I had among many good informants during my stay in Angola.

L'étude complète de ce vaste sujet demanderait un volume. Le but de cet article est plus modeste. Il ne veut donner qu'un aperçu de la situation actuelle de la polygamie; exposer les causes qui la maintiennent et d'autres qui la font évoluer, commenter la position que prend l'Administration à son sujet, et pour finir indiquer l'attitude des Missions à son égard.

A cause de l'usage général, nous employons le mot polygamie au lieu de polygynie. Il est cependant à noter, à l'encontre d'une opinion largement répandue, que la polyandrie existe au Congo Belge. Elle est coutumièrement organisée chez les Bashilele du Territoire des Basongo. De là elle s'est introduite dans quelques villages de leurs voisins, les Badinga.

L'étude de l'organisation sociale traditionnelle des Meru Tigania-Igembe du Kenya est l'occasion de proposer une nouvelle approche des sociétés à classes d'âge et de génération est-africaines. La distinction des critères d'âge et de génération, la recherche des règies principales et secondaires de recrutement et de constitution des classes ont permis de mettre au jour certaines articulations de ce système de classe avec les autres sphères de la société meru: la concordance ou non des cycles de vie et de la progression des classes, la filiationet L'alliance, l'organisation territoriale. On pense avoir trouvé là les cadres d'une sociologie des sociétés à classes d'âge et de génération ainsi que les axes d'une comparaison. La configuration meru permet d'inclure des Bantous aux côtés des situations mieux connues des Couchites, des Nilotes et des Omotiques, et de jeter les bases d'un comparatisme, seule méthode qui permettra au travers des variations des configurations particulières de faire progresser la comprehension de ces organisations.

Full descriptions of the kinship terminology of the Ibo of south-eastern Nigeria are rare. One important reason for this is that, although the basic principles of kinship organization are similar over much of the Ibo culture area, terminology reflects, on the one hand, the extreme degree of dialect variation and, on the other hand, local variation in details of the kinship organization itself. Such variations occur sometimes over a very few miles. Certainly there is no single Ibo kinship terminology; there is only in a broad sense one southern Ibo terminology; while the area which can be said to have one terminology in the narrowest sense of an absolute identity of every term is often very restricted. Although this situation may be confusing to the investigator, it is not necessarily so to the Ibo. Every Ibo is conversant with kinship terms within and often far beyond the radius in which he may seek a wife, just as he is aware of dialectal variations in any other field of terminology. Thus it is that terminology in the literature has tended sometimes to be dialectally eclectic as well as incomplete. The growing body of publications in Ibo, both in the Onitsha and the Central dialects, also illustrates this tendency when kinship relationships are mentioned. It would therefore seem to be worth while to record one specific system of terminology in detail, within the social context of its area.

Ata Kwasi was a young Ashanti, about twenty-one years old. He had gained the Primary School leaving certificate and shortly after leaving school got a job as a junior clerk. In March 1945 he complained of a persistent cough and was admitted to hospital where pulmonary tuberculosis was diagnosed. Pressure on the limited accommodation, the impossibility of a cure and his own dislike of a hospital regimen made him leave after a few weeks. The following are the letters and reports of his illness which he wrote in English to a friend during the last four months of his life. They are produced without alterations except for the deletion of place-names.