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Le Commerce en France au XVIe Siècle

Published online by Cambridge University Press:  25 October 2017

Henri Sée
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L'histoire économique et sociale de la France, au XVIe siècle, demeure encore trop peu étudiée ; en dehors d'un petit nombre d'ouvrages excellents, on compte les travaux de grande envergure qui lui ont été consacrés. Ce n'est pas tout à fait sans raison. Outre que le XVIe siècle, d'une façon générale, a été un peu délaissé, chez nous, l'histoire économique s'est heurtée, pour cette période, à une difficulté particulière, qui tient au caractère des sources. S'agitil du XVIIIe siècle ? L'historien trouve des fonds d'archives vraiment accessibles : papiers seigneuriaux, fonds des intendances et des parlements, papiers des firmes commerciales et industrielles, séries F10 et F12 des Archives Nationales, etc. Au XVIe siècle, l'administration provinciale, encore mal organisée, n'a laissé que peu d'archives ; les questions économiques ne sont du ressort d'aucune administration centrale ; les papiers des firmes commerciales demeurent assez rares.

Type
Le Travail Qui se Fait : Revues Générales
Information
Annales d’histoire économique et sociales , Volume 1 , Issue 4 , October 1929 , pp. 551 - 561
Copyright
Copyright © Les Éditions de l'EHESS 1929

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References

page 551 note 1. On en trouve cependant de bien intéressants ; tels, les documents émanant d'André Euys, négociant espagnol établi à Nantes (1548-1566), et conservés aux Archives Communales de cette ville (HH 189 à 193) ; ils n'ont encore lait l'objet d'aucune étude approfondie.

page 551 note 2. Signalons cependant, entre beaucoup d'autres, les publications déjà anciennes de MrPérouse, Gabriel, par exemple ses Etudes sur les usages et le droit privé en Savoie aumilieu du XVIe siècle. Paris, 1913 Google Scholar, in-8° — et, plus récemment, celle du DrLeblond, V., Documents relatifs à l'histoire économique de Beauvais et du Beauvaisis au XVIe siècle, extraits des minutes notariales (1537-15S6). Paris, 1925 Google Scholar (Publ. de la Société Académique de l'Oise).

page 552 note 1. A Paris, chez Charles Estienne, Imprimeur du Roy, 1552 ; in-12 (Bibl. Nat., L251 Rés.) On lit à la page I : Vue, corrigée et augmentée pour la seconde fois. Il avait paru un premier tirage en la même année 1552 (Brunet, Manuel du libraire, v° Guide). Une nouvelle édition parut en 1553. Elle ne diffère pas en réalité de la seconde. Le petit traité de Ch. Estienne a été souvent réimprimé et notamment en 1580 à Lyon par Benoit Rigaud, La Guide des chemins pour aller et venir par tout le royaume de France, in-16 (voir Baudrier, , Bibliographie Lyonnaise, III, p. 358 Google Scholar) ; il Se complète alors de La Suitte de la Guide des chemins tant de France, d'Espagne, d'Italie et autres pays ; à Lyon, pour Benoist Rigaud, 1583; in-16 (voir Baudrier, ouv. cité, III, p. 376).En 1591, on voit paraître un document qu'il est intéressant de comparer avec La Guide de Ch. Estienne, c'est le Sommaire de la description de la France avec le guide des chemins pour aller par les provinces de Théodore Mayerne-Turquet (1591, in-16 ; 1596, in-12 ; 1618, in-8°, etc.).

page 552 note 2. Voir Paul Raveau, La condition économique et l'état social du Poitou au XVIe siècle (encore inédit). — Sur les messagers de l'Université de Paris, voir notamment Du Boulay, , Histoire de V Université de Paris, t. 1, p. 137 Google Scholar ; sur la création des messagers royaux en 1576, Cheviek, , Histoire de V Université de Paris, t. VI, 1761, p. 352 Google Scholar ; sur les conflits des deux institutions, et l'affaire de 1632-1634 notamment, Jourdain, Histoire de l'Université de Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, 1888, t. 1 et II passtm et Targe, , Professeurs et régents de collège dans l'ancienne Université de Paris, Paris, 1902, p. 175 Google Scholar. — On trouvera de bonnes collections d'ordonnances relatives à la poste et aux messageries dans Jacques le Quien de la Neufville, Usage des postes chez les anciens et les modernes contenant tous les êdits, etc., Paris, 1730, in-12 (édition antérieure, 1708?) et surtout dans le Traité de la Police de Nicolas Delamare, Paris, 1738, in-fol., livre VI, titre XIV.

page 552 note 3. Caractère qu'il conservera jusqu'à la fin de l'ancien régime.

page 552 note 4. Voir le bon travail de Daniel Bernard, La poste aux lettres en Bretagne dans Mémoires et documents pour servir à l'histoire du commerce et de l'industrie de Julien Hayem, 12e série. Paris, M. Rivière, 1928 ; in-8°, p. 73-222.

page 553 note 1. Ici également nombreuses monographies locales, souvent enfouies dans les publications des Sociétés savantes. On a notamment étudié avec assez de soin le flottage (voir pour l'Allier, l'étude importante d'A. Achard, Jumeaux et la batellerie d'Allier dans Revue Auvergne, XXXIII, XXXIV, XXXV, 1916-1917-1918 ; pour la Dordogne, Bombal, E., La Haute Dordogne et ses gabariers dans Bull. Soc. Lettres, Tulle, 1900-1901 Google Scholar, etc.). Sur les navigations de la basse Seine, étude de PH. Barbey, Le Havre maritime ; la batellerie et les transports par terre du XVIe au XIXe siècle dans Mém. et Doc. de Julien Hayem, 6e série. Paris, 1921.

page 553 note 2. Voir Mantellier, Histoire de la communauté des marchands fréquentant la rivière de Loire. Orléans, 1864-1867 ; 2 vol., in-8°.

page 553 note 3. Voir Martin, FR., Adam de Crapponne et son œuvre. Paris, 1874 Google Scholar. — Sur tout ce qui précède, voir aussi Pigeonneau, H., Histoire du commerce de la France, t. II, p. 36 Google Scholar et suiv., 76 et suiv.

page 553 note 4. « Comme, dit-il, nous ayons été informés que plusieurs personnages, par avarice et cupidité…, ont acheté grande quantité de tous blez, les uns avant la cueillette et étant encore en verdure, et les autres du populaire, hors le marché et en leurs maisons pour mettre en greniers, pour iceux vendre à leur plaisir et volonté, alors qu'ils verront le peuple estre en nécessité… Avons ordonné que les bleds… soyent vendus et portez aux marchés publiques et non ailleurs… et qu'ils le soient avant toute oeuvre au populaire qui l'achète pour vivre au jour le jour, et nul ne sera à eux préféré. ».— En 1535, au contraire, la récolte étant abondante, on autorise la libre circulation des grains. Voir Henry Lemonkier, La Renaissance et la Réforme dans Histoire de France, d'E. Lavisse, p. 275-276.

page 554 note 1. Outre les indications anciennes de Pigeonneau, ouv. cité, II, p. 222 et suiv., voir un certain nombre de monographies (souvent thèses de doctorat en droit). Citons par exemple, pour Lyon, l'étude déjà ancienne de Vaesen, J., La juridiction commerciale de Lyon. Lyon, 1879 Google Scholar, in-8° ; pour Paris, Denière, , La juridiction consulaire de Paris, 1563-1792. Paris, 1870 Google Scholar, in-8° ; pour Lille, A. Lefas, La juridiction consulaire de Lille (Extr. delà fieoue du Nord, VII, 1921), etc. Sur les problèmes d'origine, mise au point d'A. Lefas, De l'origine des juridictions consulaires des marchands de France dans Revue d'histoire du. droit, 1924, p. 83, qui renvoie aux études antérieures (deL. de “Valroger, E. deCaters, etc.). Les premières ébauches de ce que seront plus tard les chambres de commerce Commencent à apparaître à l'extrême fin du xvie siècle ; voir par exemple, pour les origines de la première en date de ces chambres françaises, Jos. Fournier, La chambre de commerce de Marseille et ses représentants permanents à Paris, 1599-1875. Marseille, 1920, in-8°.

page 554 note 2. Voir H. Lemonnier, ouv. cité, p. 277 et suiv. ; ST. De Merval, Documents relatifs à la fondation du Havre, 1875 ; Borély, Histoire de la ville du Havre et de son ancien gouvernement, 1880-1881.

page 555 note 1. De la Roncière, CH., Histoire de la mirine Irançiiss, t. II, p. 464 Google Scholar et suiv. — On renonça de bonne heure au type hollandais, très solide, mais que l'on trouvait trop lent.

page 555 note 2. Voir Relation authentique du capitaine de Gonneville es nouvelles terres des Indes, publiée par M. D'Avezac, 1869.

page 555 note 3. Discours de la navigation de Jean et Raoul Parmentier, de Dieppe, publié par CHR. Schefer. Paris, 1890.

page 555 note 4. CH. De la Roncière, ouv. cité, t. II, p. 129 et suiv., 243 et suiv. ; — Eugène Guénin, Ango et ses pilotes, 1901. — On peut se demander si des interdictions analogues ne sont pas de pur style, pour avoir l'air de se conformer à des conventions diplomatiques.

page 555 note 5. Gaffarel, Paul, Les Français au Brésil au XVIe siècle. Paris, 1878 Google Scholar ; — CH. De la Roncière, ouv. cité, t. IV.

page 555 note 6. Gaffarel, P., Histoire de la Floride française. Paris, 1875 Google Scholar ; — CH. De la Roncière, ouv. cité, t. IV,p. 46 et suiv.

page 556 note 1. Voir Jouön des Lonorais, Jacques Cartier ; documents nouveaux, 1888, et surtout P. Bisgar, The predecessors of Jacques Cartier, Les voyages de Jacques Cartier ; voir également CH. De la Roncièbe, t. III, p. 307 et suiv.

page 556 note 2. CH. De la Roncièbe, ouv. cité, t. III, p. 570 et suiv. — Sur l'impression que les explorateurs maritimes auraient faites sur l'esprit de Rabelais, voir Lefranc, Abel, Les navigations de Pantagruel. Paris, 1905 Google Scholar.

page 556 note 3. Immigration favorisée encore par la présence d'une Médicis sur le trône de France.

page 556 note 4. Dans sa Réponse aux Paradoxes de Mr de Malestroit. — Voir Hahsin, Paul, Les doctrines monétaires et financières en France du XVIe au XVIIIe siècle. Paris, 1928 Google Scholar, in-8°.

page 556 note 5. Encore au début du XVIIe siècle, lorsque Henry Poullain, dans son Traité des monnaies (éd. de 1709), parle du commerce extérieur de la France, il place au premier rang les relations avec l'Espagne et les Pays-Bas.

page 556 note 6. Voir Henri Pirenne, Histoire de Belgique, t. III. — Lisbonne, surtout dans la première partie du siècle, jouait aussi un rôle de premier plan.

page 556 note 7. Ici, nous sommes guidés par l'excellent travail de P. Boissonade, Les relations commerciales entre la France et les Iles britanniques au XVIe siècle dans Revue historique, mai et septembre 1920.

page 557 note 1. Sur les relations commerciales franco-britanniques, on trouvera encore bien des données intéressantes dans E.-A. Lewis, The welsh Port Books (1550-1603), with an analysis of the Customs Revenue Accounts of Waies for the same period. London, 1927, dans Cymmrodorion record séries, n° XII.

page 557 note 2. Charrière, Négociations de la France dans le Levant, 3 vol. in-4°, dans Coll. des Documents inédits de l'histoire de France.

page 557 note 3. Histoire des établissements et du commerce français dans VAfrique barbaresque (1560-1793). Paris, 1903, in-8°. Du même auteur, sous le titre : Les compagnies du corail, Paris, 1908, in-8°, une précieuse étude sur le commerce de Marseille au XVIe siècle et les origines de la colonisation française en Algérie-Tunisie.

page 557 note 4. Les Normands au Maroc au XVIe siècle dans Mémoires et Documents de J. Hayem, 5° série, p. 1-44. Ce sont surtout des marchands de Rouen qui envoient des bateaux charger dans les ports marocains de la cire, du sucre, des amandes, des dattes, des cuirs.

page 557 note 5. Voir H. Pigeonneau, ouv. cité, t. II, p. 99 et suiv.

page 557 note 6. Voir Julliant, Histoire du commerce de Marseille, 1842-1843 et Encyclopédie départementale des Bouches-du-Rhône, t. III (articles écrits par Mr Bourrilly).

page 557 note 7. Voir Francisque Michel, Histoire du commerce de Bordeaux ; — Juluan, Camille, Histoire de Bordeaux. Bordeaux, 1895 Google Scholar.

page 557 note 8. Lebeuf, Histoire du commerce de Nantes, 1857. — Voir Jeulin, P., L'Évolution du port de Nantes, Paris, 1929 Google Scholar, in-8°, abondant en indications historiques et E. Le Par Quieb, Le commerce maritime de Nantes dans la deuxième moitié du XVIe siècle dans Bull, de la Société d'Emulation du commerce et de l'industrie de la Seine-Inférieure, 1928.

page 558 note 1. Voir Fréville, Le commerce maritime de Rouen;— CH. De Beaurepaire, La Vicomte de l'Eau ; — Gosselin, Documents inédits pour servir à l'histoire de la marine normande et du commerce rouennais pendant les XVIe et XVIIe siècles. Rouen, 1876.

page 558 note 2. Par contre, remarque-t-il, la France doit faire venir de l'étranger les métaux dont elle a besoin, à l'exception du fer.

page 558 note 3. Chamberland, Le commerce d'importation en France au milieu du XVIe siècle dans Revue de Géographie, 1892-1893. Le Mémoire se trouve à la Bibl. Nat., Ms. franc. 2085 et 2086. Mr Chamberland l'a reproduit en partie ; il mériterait une publication intégrale.

page 559 note 1. Le mémoire remarque que les Italiens vendent plus qu'ils n'achètent et remportent le surplus en argent comptant ou en lettres de change.

page 559 note 2. Comme étude générale sur la question, voir le remarquable livre de Huvelin, Paul, Essai historique sur le droit des foires et des marchés. Paris, 1897 Google Scholar, in-8°; à un tout autre point de vue, l'étude intéressante (avec croquis) d'André Allix, The geography of fairs dans The Geographical Revievi, XII, 1922, p. 352 et suiv. (en français, sous le titre : Les foires, étude géographique dans La Géographie, 1923.)

page 559 note 3. Pour Genève, voir Frédéric Borel, Les foires de. Genève au XVe siècle. Genève et Paris, 1892 ; in-4°. — Pour Lyon, Brésard, Marc, Les foires de Lyon aux XVe et XVIe sièeles. Paris, 1914 Google Scholar ; in-8°, qui ne dispense pas de recourir à Vigne, La banque à Lyon du XVe au XVIII’ siècle. Lyon et Paris, 1903 ; in-8°, ni à Bonzon, La banque à Lyon aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles dans Revue d'histoire de Lyon, 1902 et 1903. Sur les Italiens àLyon, Rouche, A., La natton florentine à Lyon, au début du XVIe siècle, ibid. XI, 1912 Google Scholar. Sur les Allemands, une note de Von Heyd sur la fréquentation des foires de Genève et de Lyon par les marchands d'Ulm, Ravensburg, Memmingen, etc., dans Württemberg. Vierteljahrsheft f. Làndesgesch. N. F., Helft I, 1892 et surtout la monographie très riche du « Bon Allemand » de Lyon, le marchand Cleberger, par Eus. Vial, dans Revue d'histoire de Lyon, t. XI, 1912; XII, 1913 et XIII, 1914. — En 1534, le magistrat de la ville libre impériale de Besançon réussit à attirer dans sa cité les changeurs génois à qui la guerre entre François 1er et Charles-Quint interdisait l'exercice de leur activité à Lyon. Cettefoire, dont Ehrenberg a bien mis en lumière l'importance, qui fut considérable au point de vue de la technique bancaire (Das Zeitalter der Fugger, 3e éd. Iéna, 1922 ;in-8°), disparut à la fin du siècle ; voir également à ce sujet Huvelin, ouv. cité, t. 1, p. 342 et II, p. 225 ; Isaac, , Le cardinal de Tournon dans Revue d'Histoire de Lyon, XII, 1913, p. 419 Google Scholar ; et au point de vue local, Auo. Castan, Charles-Quint et sa statue à Besancon dans Mémoires Soc. Emulation du Doubs, 1867, et Febvre, Lucien, Philippe II et la Franche-Comté. Paris, 1911; in-8°, chap. XIV, p. 452–453 Google Scholar.

page 559 note 4. Voir De Gourcy, La foire de Beaucaire, étude d'histoire économique. Montpellier, 1911 in-8°.

page 560 note 1. Sur les assurances maritimes, il y a eu en Normandie une sorte de code privé, le Guidon, de la mer, qui a été publié en 1608, mais qui, sans doute, date du siècle précédent.

page 560 note 2. Nous sommes bien mieux renseignés sur les pratiques commerciales usitées à Anvers, grâce au précieux volume de J. A. Goris, Les colonies méridionales à Anvers de 148S à 1567, dans Travaux de l'Université de Louvain, Louvain, 1925.

page 560 note 3. Voir TH. Wilson, Discourse upon usury (1572), éd. Tawney. London, 1925. Introduction.

page 560 note 4. Toute cette question a été bien exposée par H. Pigeonneau, ouv. cité, t. II, p. 211 et suiv.

page 560 note 5. Cahiers généraux des trois ordres ; Cahiers du Tiers, t. II, p. 401. — Jean Bodin, dans sa Réponse aux paradoxes de Mr de Malestroit, demandait que l'on accrût les droits de sortie sur les produits alimentaires.

page 561 note 1. Voir Le colbertisme avant Colbert dans Les débuts du capitalisme. Paris, 1928, p. 181 et suiv., et Le système social de Barthélémy Laffemas, ibid., p. 161 et suiv. — Jean Bodin se montre aussi un partisan résolu de la politique protectionniste.

page 561 note 2. H. Pigeonneau, ouv. cité, t. II, p. 211. Voir J.-J. Clamageran, Histoire des impôts en France, t. II. Paris, 1868.

page 561 note 3. Mr Henhi Pirenne, Histoire de Belgique, t. III, a mis admirablement en lumière l'expansion de l'industrie rurale aux Pays-Bas. Voir également, ici même, l'étude récente de Mr Sneller, La naissance de l'industrie rurale dans les Pays-Bas aux XVIIe et XVIIIe siècles, p. 192 et suiv.

page 561 note 4. Dans Vierteljahrschrift füt Sozial-und Wirlschaftsgeschichte, 1907, p. 1-111.