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Published online by Cambridge University Press: 27 November 2009
«J'entends encore, dans mes nuits d'insomnie et en rêve, disait Billroth, les cris, les hurlements des blessés, de ceux surtout qui, bien que transportés dans les véhicules les mieux aménagés, étaient atteints de plaies perforantes de la poitrine ou de brisements des os de la cuisse, et je me disais qu'il vaudrait mieux les jeter sur la voie que de faire continuer leur supplice jusqu'à la station suivante.»
1 1905, no 5, Tragbahrenfederung für den Transport Verwundeter auf Bxuerwagen und in Eisenbahngüterwagen.