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Abstract
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- Type
- Histoire Romaine (Comptes Rendus)
- Information
- Copyright
- Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1969
References
page 455 note 1. Étienne, Robert, Bordeaux antique, Bordeaux, Fédération historique du Sud-Ouest, 1962, in-4°, 386 p.Google Scholar, 24 cartes, 24 pl.
page 457 note 1. Mais il n'est pas du tout certain que C. Julius Secundus ﹛CIL XIII 596/800) soit préteur sous Claude ; Jullian me semble un peu téméraire quand il l'identifie avec le dédicant de CIL XIII 590, qui s'appelle C. Julius…, prénom et nom portés par de nombreux Bordelais à partir d'Auguste.
page 458 note 1. La suggestion est intéressante, mais est-il exclu qu'on ne soit en présence de l'ancien Forum lui-même, comme le voulait Jullian ? Rien n'empêcherait que Septime- Sévère ne l'ait transformé en l'entourant d'un portique monumental. Car, pour y voir un Forum, R. Etienne invoque, comme indice, la découverte, faite à cet endroit même au XVIe siècle, de l'inscription CIL XIII 566 Augusto sacrum et genio civitalis Bit. Viv., à laquelle il assigne ailleurs (p. 115), pour date, le règne de Vespasien.
page 460 note 1. 1. Il est ensuite, sous Constance II, proconsul d'Afrique entre 353 et 355, puis questeur du palais en 356 (ZOSIME, III, 2,2).
page 460 note 2. 2. Sur les hésitations dans la dénomination du diocèse à la fin du ive siècle, alors que celui-ci comprend incontestablement sept provinces depuis une date un peu antérieure à 381, Jullian, C., Histoire de la Gaule, t. VIII, pp. 20–21 Google Scholar, en notes ; Palanque, J.-R., dans Revue des Études Anciennes, XXXVI, 1934, pp. 360–363 Google Scholar ; Demougeot, E., De l'unité à la division de l'Empire romain, Paris, 1951, pp. 14 Google Scholar (n. 68) et 203 (n. 448).
page 460 note 3. A propos du rayonnement de l'Université bordelaise, il manque une allusion au fait que le grand orateur romain Symmaque a eu pour maître un rhéteur bordelais (Ep., IX, 88,3), peut-être Minervius qui enseigna à Rome à partir de 352.
page 461 note 1. Contrairement à ce qu'affirme l'auteur (p. 283, n. 87), le consulat de Paulin en 378 n'est guère discutable ; il s'agit d'un consulat suffect. Cf. mon article de la Bévue Historique, CCXIX, 1958, pp. 234-236.