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Published online by Cambridge University Press: 30 October 2017
” Le vingtième siècle sera le siècle du corporatisme, comme le dix-neuvième a été le siècle du libéralisme. — Le libéralisme est mort et le socialisme épuisé avant d'avoir pu s'épanouir. — La nécessité d'une doctrine universelle pour une époque donnée s'impose. — Malgré notre foi dans la valeur du principe corporatiste, nous ne croyons pas que ce principe aurait pu être accepté et qu'il aurait pu donner des résultats en plein XIXe siècle, quand l'Europe occidentale avait la possibilité et le devoir de conquérir économiquement la planète. »
page 335 note 3. Paris, Alcan, 1937 ; in-8°, 376 p.
page 336 note 1. Paris, Recueil Sirey, 1937 ; in-8°,168 p.
page 336 note 2. Fine remarque (p. 53) sur ce fait que le principe, inappliqué, de la séparation des pouvoirs, reste, cependant un assez énergique animateur de l'activité politique. Et que la confusion des pouvoirs, qui est normale, choque parfois « les théoriciens les plus sceptiques
page 337 note 1. « Le juriste passe au second rang après avoir occupé le premier dans l'État. Les conditions économiques prétendent remplacer les notions juridiques. »