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Bien que le lithium soit le traitement de première ligne pour la prévention des rechutes dans le trouble bipolaire seuls 30 % des patients sont de bons répondeurs. Ainsi, un sous-groupe important des patients, traités avec du lithium, présente des taux élevés de rechute. En l’absence de marqueurs cliniques prédictifs de réponse il reste difficile de prédire avec précision quels patients répondront en évitant de les soumettre à de longues périodes de traitements au lithium. L’identification de biomarqueurs prédictifs est donc un enjeu majeur pour améliorer la prise en charge des patients bipolaires. Le mécanisme d’action du lithium est complexe car il exerce une action inhibitrice ou activatrice sur plusieurs voies de signalisation cellulaires. L’ensemble de ces cibles et effecteurs contribuent aux effets neuroprotecteurs dans le cerveau et de stabilisation de l’humeur et complexifient la compréhension de la réponse prophylactique au lithium. Les études visant à identifier une corrélation entre la réponse au lithium et des mutations de gènes ont produit des résultats controversés. Afin de mieux comprendre la variabilité de la réponse au lithium, une approche complémentaire aux études génétiques, consiste à étudier les effets moléculaires induits par un traitement aigu ou chronique au lithium. Il a ainsi été montré que le lithium module les niveaux d’expression de gènes au niveau des ARN messagers, des protéines aussi des miRNA dans plusieurs modèles in vivo et in vitro. Ces études ouvrent de nouvelles voies de recherche pour identifier des biomarqueurs de la réponse prophylactique au lithium pouvant être transférés en clinique afin d’éviter de longues périodes de traitement inefficace au lithium et élaborer des stratégies de traitement plus personnalisées.
La TMS est utilisée comme traitement des états dépressifs majeurs (EDM) depuis plusieurs années, le taux de répondeurs variant entre 20 et 60 %. Nous avons voulu confronter ces données avec des patients en conditions naturalistiques. L’objectif principal de ce travail est de déterminer le pourcentage de répondeurs à une première cure de TMS chez des patients présentant un épisode dépressif majeur (EDM). L’objectif secondaire est de déterminer le profil des patients répondeurs.
Méthode
Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective dont les critères d’inclusion sont : EDM isolé (MADRS > 20), ou intégré dans un trouble dépressif récurrent (TDR) ou bipolaire (TB), avec mauvaise réponse ou intolérance aux antidépresseurs. Les critères d’exclusion sont : cure de TMS antérieure, contre-indication. Le protocole de TMS était : 15 séances de stimulation sur le cortex dorso-latéral gauche, fréquence 10 Hz, dix trains de 40 chocs et durée inter-trains de 28 s. L’efficacité et la tolérance du traitement ont été évaluées par comparaison de la variation des scores des échelles MADRS, CGI, et MOCA à j1, puis à j31 après la cure. Une diminution de 25 % à 50 % du score MADRS est une réponse partielle, de 50 % minimum une réponse, un score MADRS inférieure à 10 est une rémission.
Résultats
De 2011 à 2013, 54 patients ont été inclus. L’analyse a porté sur 37 patients. La moyenne d’âge était de 57 ans et 60 % étaient des femmes. Vingt-sept pour cent sont en rémission, 16 % en réponse, 30 % en réponse partielle. Cinquante pour cent présentaient un TDR, 26 % un TB, et 14 % un 1er EDM. Le profil des répondeurs sera détaillé.
Conclusion
Les résultats sont conformes aux données de la littérature. De nouvelles études sont nécessaires pour mieux définir le profil de répondeurs.
Available research supports the therapeutic usefulness of cognitive therapy for depressed older adults. Few studies have addressed the issue of response prediction. This research investigates the associations between several pre-intervention characteristics of subjects and therapy outcomes in the context of a group intervention. The characteristics under study were severity of depressive symptommatology, endogenous depression profile, subjective health status, perceived social support, and frequency of cognitive depressive symptoms representing a negative view of oneself. A more severe depressive symptomatology and a more negative health perception were associated with a less favourable outcome of therapy. Although the majority of endogenous patients benefitted from the intervention, only a minority reached the level of symptom remission at the end of treatment. A more pronounced cluster of symptoms characterized by negative thoughts about oneself tended to be associated with a worse outcome. Perceived social support was unrelated to therapy outcome.
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