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Statistiques économiques disponibles au 30 octobre 1962
Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
Abstract
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- Other
- Information
- Recherches Économiques de Louvain/ Louvain Economic Review , Volume 28 , Issue 7 , October 1962 , pp. 705 - 724
- Copyright
- Copyright © Université catholique de Louvain, Institut de recherches économiques et sociales 1962
References
Références
Les données statistiques non définitives sont imprimées en
caractères italiques.Google Scholar
1. a à d: D’après Bull, de Statistique; le taux de fécondité
est le nombre de naissances pour mille femmes âgées de 15 à moins de 45
ans.Google Scholar
1. e: D’après le Bull, de Statistique.Google Scholar
1. f à i: D’après la Revue du Travail, sept.
1951, p. 896, Un budget de
main-d’œuvre belge. L’ensemble de la population au travail
comprend tous ceux qui à titre de patron, d’aidant, d’appointé, de salarié,
ou d’indépendant exercent une profession lucrative tant dans une entreprise
privée que dans un service public ou d’intérêt général. Cet ensemble
comprend également les militaires et miliciens. Les appointés et salariés
comprennent les personnes liées par un contrat d’emploi dans les entreprises
et services tant privés que publics. Les effectifs de l’industrie
comprennent les appointés et salariés des industries extractives,
manufacturières, et de la construction.Google Scholar
1. f à m: D’après les calculs et estimations de M. F.
Baudhuin, publiés annuellement dans le Bull. I. R. E. S. Les données se
rapportent au revenu national net évalué au coût des facteurs (ensemble des
revenus tirés de la production des biens et des services, y compris ceux
provenant de l’étranger).Google Scholar
1. n: Revenus de l’Etat: Ensemble des recettes à l’exception
de celles provenant des emprunts; comptes par exercice.Google Scholar
1. o: Ensemble des dépenses inscrites au budget ordinaire, à
celui résultant de la guerre et au budget extraordinaire. Les données
relatives aux trois dernières années sont provisoires. Celles de la dernière
année est évaluée d’après les comptes de l’exercice
inachevé.Google Scholar
1. p et q: D’après le Bull, de Statistique: Les prairies et
pâtures comprennent l’ensemble des prairies permanentes et temporaires,
pâturées et fauchées. Les vergers pâturés y sont aussi inclus. A partir de
1952, les recensements ne tiennent plus compte des exploitations de moins de
I ha.Google Scholar
col. 1:
Indices calculés par l’IRES: moyenne simple de 6 indices de prix de
métaux et de 11 indices de prix de produits d’origine agricole relevés
sur les marchés les plus sensibles du monde et exprimés en dollars. Base,
1953 = 100. Pour l’interprétation cfr Bull. n°
6, 3 sept. 1953, p.
553.Google Scholar
col. 2 à 24: Indices calculés par l’I. R. E. S. sur des prix
relevés entre le 1er et le 10 du mois. La méthode d’établissement
et la composition sont décrites dans le bulletin de juin 1956, p. 423 et
suivantes.Google Scholar
col. 25 et 26: Source: Service de l’index du Ministère des
affaires économiques.Google Scholar
col. 27 et 28: Indice du coût de la vie calculé pour des
familles d’ouvriers à salaire plein et d’employés, selon les enquêtes
réalisées entre 1948 et 1953. La méthode d’établissement et la composition
sont exposées dans le bulletin de juin 1956, p.
427 et suivantes.Google Scholar
col. 29 à 34: Le salaire-coût est établi en ajoutant les
charges sociales légales incombant à l’employeur (sécurité sociale et
assurances) aux gains horaires des ouvriers qui comprennent déjà les
rétributions de certaines heures non prestées mais obligatoirement payées.
Le salaire social se calcule en ajoutant les avantages pécuniaires alloués
par la sécurité sociale à un salaire mensuel théorique net, c. à. d. gain
horaire multiplié par le nombre moyen normal d’heures de travail d’un mois
et diminué des charges sociales retenues. Les charges fiscales ne sont pas
soustraites.Google Scholar
col. 35 à 40: Calculés à l’I. R. E. S. d’après le Bull. B. N.
B. jusqu’en 1946, d’après le Bull, de Statistique à partir de 1947; cours au
1er du mois jusqu’en 1957, au 10 du mois à partir de 1958. La
composition des différents groupes est donnée dans « Eléments du diagnostic
».Google Scholar
col. 41 à 44: Calculés par l’I. R. E. S. Les taux de
capitalisation des certificats de trésorerie sont calculés le 15 du mois sur
les émissions à remboursement de 2 à 8 ans après le mois considéré et en
tenant compte des primes de remboursement. Les autres taux ne tiennent pas
compte du cours de remboursement.Google Scholar
col. 45: Source: B. N. B.Google Scholar
col. 46: Etabli par l’I. R. E. S. en fin de mois et comprend:
les billets de la B. N. B., la monnaie divisionnaire et d’appoint, les
comptes courants libres à la B. N. B., les dépôts libres à 30 jours au plus
dans les banques privées, les avoirs libres des particuliers et des
comptables de l’Etat aux chèques postaux. De ce total sont soustraits: les
avoirs de la B. N. B. aux chèques postaux, les encaisses et les avoirs en
compte courant à la B. N. B. et aux chèques postaux des banques
privées.Google Scholar
col. 47 et 48: Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 49 à 55: D’après la B. N. B., dernière situation du
mois.Google Scholar
col. 56: Etabli par l’I. R. E. S. Représente les avoirs nets
de la B. N. B. pouvant servir aux paiements à l’étranger.Google Scholar
col. 57 à 61: D’après le Moniteur belge. On entend par
«Trésorerie» le poste de l’actif: Encaisse, avoirs en compte à la B. N. B.
et chèques postaux.Google Scholar
col. 62: D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 63:
Source: B. N. B. Etabli sur un échantillonnage représentant environ
80 % du total des dépôts à vue; voir Bull. B. N. B., XXVme
année, Vol. II, N° 4, p.
222.Google Scholar
col. 64 à 66: Source: Office des chèques
postaux.Google Scholar
col. 67: Calculé par l’I. R. E. S.: Rapport de l’ensemble du
débit par 25 jours aux avoirs libres globaux en fin de
mois.Google Scholar
col. 68 à 73: D’après le Bull. B. N. B. et le Bull, de
Statistique.Google Scholar
col. 74 à 78: Etablis par l’I. R. E. S. Moyenne journalière
des cotations à Bruxelles exprimée en % de la parité
officielle.Google Scholar
col. 79 à 82: D’après le Moniteur belge.Google Scholar
col. 83 à 89: D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar
col. 90 à 97: Les données brutes sont communiquées par
l’Office national du Placement et du Chômage. La méthode de calcul des
variations saisonnières est décrite dans le Bulletin de juin
1956, p. 435.Google Scholar
col. 98: Calcul de l’I. R. E. S. Comprend les ouvriers
occupés dans les industries soumises à l’obligation d’un recensement
mensuel. Les branches d’industries fortement concentrées (entre autres les
charbonnages et la sidérurgie) sont représentées dans leur entièreté. Par
contre d’autres branches ne sont représentées que par les entreprises
comptant 5 ouvriers et plus ou 10 ouvriers et plus. En fin de compte sur un
total de 1.308 mille ouvriers assurés à l’O. N. S. S. en 1953 1.005 mille
sont recensés dans les indices. Voir le Bulletin de juin 1956,
p. 435
Google Scholar
col. 99 et 100: Degré d’emploi: Calculé par l’I.R.E.S. La
différence entre l’ensemble des journées de travail possibles (effectifs
ouvriers x nombre de jours ouvrables du mois) et l’ensemble des journées de
chômage représente le nombre de jours d’occupation effective. En soustrayant
des mêmes journées de travail possibles, les journées de chômage des
chômeurs complets seuls, on obtient le nombre de journées de ceux qui sont
occupés complètement ou partiellement, c’est-à-dire le degré d’emploi,
complet et partiel. Chaque élément du calcul est exprimé en % du nombre de
journées de travail possibles.Google Scholar
col. 101: Calculé par l’I. R. E. S. Les emplois offerts par
les industriels au cours du mois sont rapportés à la médiane élargie (3 ou 4
termes) des emplois offerts pendant le même mois au cours des années
1950–1960. L’indice des offres d’emploi est donc établi
selon la formule:Google Scholar
col. 102: Etabli par l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 103: Indice AGEFI de l’activité industrielle. Calculé
par mois d’égale longueur. A partir de 1960 les indices ont été corrigés et
augmentés.Google Scholar
col. 104 à 130: En plus des produits précédemment recensés
(cfr Bulletin de TIRES, juin 1956, p. 432) l’indice élargi de la
production comprend désormais la production des produits
suivants: grisou valorisé; gaz de pétrole liquéfié; produits chimiques
minéraux et organiques divers; oxydes de base pour peinture; émaux,
peintures, vernis et encres; engrais potassiques; savons, détergents et
divers; produits photosensibles; colles et gélatines; explosifs; conserves
de viandes de légumes et de poissons; pâtes alimentaires; biscuits,
biscottes et pains d’épice; chocolat et confiseries; vinaigre et chicorée;
laitier de hauts fourneaux. Par suite de l’adjonction de ces nouveaux
produits, la pondération, c.-à-d. les valeurs ajoutées des différentes
branches, se trouve modifiée comme suit:Google Scholar
col. 131 à 133: D’après la Direction générale des Mines. La
consommation apparente de charbon est obtenue en faisant la somme algébrique
de la production, des importations nettes, et de la différence des stocks
entre la fin et le début du mois.Google Scholar
col. 134: D’après la C. E. C. A.Google Scholar
col. 135: D’après l’I. N. S.Google Scholar
col. 136: D’après l’I. N. S. De 1946 à 1952: somme des
autorisations de bâtir demandées des constructions nouvelles et de la moitié
du nombre des reconstructions et transformations. A partir de 1953:
autorisations de bâtir accordées pour toutes constructions, exceptées les
transformations ne modifiant pas le volume de construction.Google Scholar
col. 137 à 142: Les indices de transport et de manutentions
sont calculés par mois d’égale longueur et pondérés par la valeur ajoutée de
chaque branche de transport. Les nouveaux indices ont pour base 1953 = 100
et les valeurs ajoutées sont celles de la même année.Google Scholar
col. 141: Source: S. N. C. F. B.Google Scholar
col. 143: Source: Administration du Port
d’Anvers.Google Scholar
col. 144: Calculé par l’I. R. E. S. en divisant le montant
des ventes de timbres fiscaux par la moyenne pondérée des taux des diverses
taxes. Les données publiées sont les indices 1953 = 100 par mois d’égale
longueur.Google Scholar
col, 145: Moyenne des indices de ventes dans les grands
magasins, magasins à succursales et coopératives calculés par l’I. N. S. et
ramenés à la base 1953 =100. La variation saisonnière est éliminée. Voir le
Bulletin de juin 1956, p. 437.Google Scholar
col. 146 à 148: D’après le Bulletin mensuel du Commerce
extérieur de l’Union économique belgo-luxembourgeoise.Google Scholar
col. 149 à 166: Indices du volume du commerce extérieur de
l’I. R. E. S.Google Scholar
col. 167: Rapport des col. 163 à 158.Google Scholar
col. 168: D’après le Bulletin statistique de l’O. E. C.
E.Google Scholar
col. 169: D’après le Bull. B. N. B.Google Scholar