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Published online by Cambridge University Press: 17 August 2016
Le commerce extérieur de la Belgique s’est en grande partie normalisé en 1952, après avoir subi violemment le contre-coup de la conjoncture coréenne.
L’incidence de celle-ci s’était exprimée par un excédent d’exportation, résultat à la fois de la grande « désirabilité » de nos produits exportables dans la conjoncture d’armement et de la rapidité avec laquelle l’appareil de production put s’adapter à la demande nouvelle. En outre, le contraste entre la politique monétaire orthodoxe de la Belgique et les pressions inflatoires développées dans plusieurs pays importants pour notre commerce extérieur constituait un appel à l’exportation et un frein pour l’importation.
page 313 note (1) L’indice Moody passe de 411 en juillet 1950 à 532 en février 1951, à 460 en décembre de cette année et à 411 un an plus tard.
page 314 note (1) Cfr Survey of Current Business, février 1953, p. 26.
page 327 note (1) 20 janvier 1952: le taux des retenues sur le produit des exportations vers les pays de l’U.E.P. passe de 5 % à 10, 7,5 et 5 % suivant la nature des produits;
— le 29 février, la S.N.C.I. est autorisée à accorder jusqu’à un plafond de 500 millions de fr. des crédits à moyen et long terme à taux réduit (3,5 %) pour l’achat des biens d’équipement dans les pays de l’U.E.P.;
— le 13 mars: certaines catégories de produits sont exonérées de la taxe à l’exportation et bénéficient d’une réduction des taux de retenues;
— l’A.R. du 26 juillet réduit d’un cinquième les taux de la taxe à l’exportation et la liste des marchandises auxquelles elle s’applique.
page 330 note (1) D’après le Professeur Ely DEVONS dans le Lloyds Bank Review de juillet 1952.