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Stendhal and French Classicism

Published online by Cambridge University Press:  02 December 2020

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In Rouge et Noir, Stendhal (Henri Beyle) defines a novel as a miroir: qui se promène sur la grande route. We may apply this figure to his Correspondance which, less open to the suspicion of pose than his other writings, reflects much of la vie littéraire of France during the first four decades of the nineteenth century. Stendhal was brought up on a classicist régime, he saw the passing of pseudo-classicism, he contributed to the triumph of romanticism and was himself a realist, before the term had been: invented. In a letter to Mr. Stritch of London, written in 1823 in the midst of the romanticist ebullition, he declared: Le caractère principal de la nation française est la méfiance (II, p. 296). No one could offer more natural qualifications for recognition as the spokesman of his nation in this regard, than this man, who, French by birth, wrote under a German pseudonym and had himself buried as a citizen of Milan under the Italian inscription which he had composed for his own tombstone.

Type
Research Article
Copyright
Copyright © Modern Language Association of America, 1915

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References

1 Paris, 1908, 3 vols.

2 Politiques et Moralistes du diœ-neuvième siècle, Paris, 1900.

3 Letter of 1820. Cf. Racine et Shakespeare, Paris, 1823. Le romantieisme est l'art de présenter aux peuples des œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyanees, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.

4 In this connection Stendhal suggests the subject of La Mort de Henri III, which, treated by Dumas (1829), was to win the first great theatre-triumph of the romanticists. See, Le Roy, L'Aube du théâtre romantique, Paris, 1904, pp. 72 f.

5 Racine et Shakespeare, Paris, 1823, p. 6.

6 Cf. Lanson, Histoire de la Littérature Française, Paris, 1908, p. 541: Les hommes sont plus faibles, les amoureux aimés sont des galants agréables, et rien de plus.

7 Cf. J. Lemaître, J. Racine, Paris, 1908, p. 224: Mithridate et surtout Iphigénie me semblent les deux pièces où le poète s'est le plus plié, sciemment ou non aux mœurs de son temps, et à l'idée que ce temps se faisait de la beauté.

8 Cf. Boileau, Epître ix, vv. 81 ff.:

La simplicité plait, sans etude et sans art.

Tout charme en un enfant, dont la langue sans fard,

A peine du filet eneor débarrassée,

Sait d'un air innocent bégayer sa pénsee, etc.

9 Cf. also his criticism of Xavier de Maistre: “l'auteur n'ose jamais être simple … par exemple, a-t-il à parier de Newton, il ne dit pas simplement: Newton; cela sera trop plat à Turin, il faut dire l'immortel Newton. Pour approcher de l'esprit français il faudrait commencer à être soi-même, n'imiter personne (ii, p. 390). Cf. Boileau:

Ce n'est que l'air d'autrui qui peut déplaire en moi.

10 Des faits, morbleu! des faits (iii, p. 90).