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Published online by Cambridge University Press: 15 March 2011
Le fragment de dhāraṇī publié ici provient de Touenhouang, d'où il a été rapporté par M. M. A. Stein à son second voyage d'exploration en Asie centrale. Il est écrit sur un morceau de rouleau, en double, d'abord en brāhmī, puis en écriture sogdienne. Le texte en brāhmī a été lu, transcrit, et annoté par M. de la Vallée Poussin, la transcription sogdienne a été étudiée par M. Gauthiot. On a disposé en tête de l'article les notes qui ont paru nécessaires; à la suite on a donné le texte entier en transcription littérale; en dernier lieu figure la reproduction intégrate de l'original.
page 629 note 1 Il se peut que la dhāraṇī du “dieu à la gorge bleue”, Śiva-Avalokiteśvara (v. Foucher, A., Iconographie bouddhique, ii, p. 37)Google Scholar, conservée dans notre manuscrit, soit la dhāraṇī ou mahāvidyā que signale Rājendrālāl Mitra, NBL., p. 292, sous la graphie transparente Sīlakaṇṭhā, et qui se trouve peut-être dans les collections Hodgson d'Europe. Nīlakaṇṭha est invoqué dans un fragment Macartney, sur palm-leaf, “early Gupta period,” Hoernle, , JASB. lxvi, p. 220Google Scholar.
page 633 note 1 Celui-oi est d'aillèurs fidèlement reproduit dans la transcription sogdienne, qui a syny- d'une part, synh- de 1'autre.
page 633 note 1 Le sogdien est transcrit au cours de cet article de la façon exposée au Journal Asiatique de janvier-février, 1911, p. 81 et suivGoogle Scholar. (v. surtout planche i). Cf. aussi, JRAS., 1912, p. 349 et suiv.
page 638 note 1 Le signe diacritique manque a l'oceasion, ainsi lignes 9 (γr = hala), 13 (nyr=nīla). Dans des textes sogdiens d'allure populaire il fait defaut régulièrement, et il semble bien que Ton ait alors prononcé r pour l.
page 638 note 1 Cf. aussi ligne 15bis, βyty'm = vidyām.
page 642 note 1 Le début est abimé et le Sanskrit y fait déi'aut; ce qu'on distingue sur la photographie répond à peu près à: vidyānī dehi dehι mā-(?) -vāṁkāmāngamāṁ vihāngamāṁ vιra.
page 645 note 1 D'une autre main.