La Conférence diplomatique de Genève a terminé, le 12 août dernier, les travaux soutenus qu'elle menait depuis près de quatre mois. Il conviendra, certes, de dresser un bilan des résultats, d'une importance capitale, qu'elle a atteints et de commenter chacune des dispositions adoptées, mais ces tâches nécessaires ne pourront être accomplies avec fruit qu'après des études approfondies. Pour l'instant, nos lecteurs trouveront dans la présente Revue le texte des quatre Conventions de Genève. En outre, pensant tout particulièrement aux Sociétés nationales de la Croix-Rouge, nous nous proposons de donner aujourd'hui un aperçu de celles des stipulations de ces nouveaux traités qui présentent un intérêt direct pour la Croix-Rouge en tant qu'institution.