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Contribution historique à une sociologie de la politique: II. Théologie et politique*

Published online by Cambridge University Press:  28 July 2009

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Abstract

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Type
Notes Critiques
Copyright
Copyright © Archives Européenes de Sociology 1969

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References

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(3) Pasquier, , Écrits Politiqutes, p. 131.Google Scholar

(4) Ibid. pp. 107, 118, 132.

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(9) Castellion, , op. cit. p. 51.Google Scholar

(10) Pasquier, , op. cit. p. 47.Google Scholar

(11) Castellion, , op. cit. p. 53.Google Scholar

(12) C'est le thème du premier discours de La Noue. Aux chercheurs qui s'occupent de savoir à quelle époque on a commencé par utiliser le terme de nation dans un sens spécifiquement politique, je signale que Fénelon ne fut pas le premier à lui donner une signification politique, car La Noue l'utilise à plusieurs reprises dans cette acception, en particulier aux pages 18, 41 et 42.

(13) Pasquier, , op. cit. p. 73.Google Scholar

(14) Ibid. p. 301.

(15) Op. cit. p. 307.

(16) Ibid. p. 66.

(17) Noue, La, op. cit. p. 46.Google Scholar

(18) Ibid. p. 51.

(19) Pasquier, , op. cit. p. 132.Google Scholar

(20) Ibid. p. 102.

(21) Ibid. p. 101.

(22) Ibid. p. 116.

(23) Op. cit. p. 118.

(24) Ibid. p. 133

(25) Ibid. p. 150.

(26) Ibid. p. 208.

(27) Il n'est pas possible d'entrer ici dans le détail de toutes les affinités que Winters trouve entre le calvinisme et la pensée politique d'Althusius. Indiquons simplement les principales: l'importance du Décalogue comme loi fondamentale, l'explication de l'inégalité parmi les hommes par la prédestination qui fait qu'en vertu des grâces de Dieu certains êtres sont plus aptes à la direction politique que d'autres (y compris l'élection particulière de certaines communautés politiques), la caractéristique de la communauté comme peuple de Dieu.

(28) Winters, P. J., Die «Politik» des Johannes Althusius, p. 248.Google Scholar

(29) L'association de ces divers noms n'affirme pas que chacun des deux groupes forme une famille d'esprits.

(30) Il y a cependant une différence: les monarchomaques protestants étaient davanrage partisans d'une démocratie dans le sens médiéval du maintien des trois ordres et les monarchomaques catholiques d'une démocratie plus moderne, par suppression des pouvoirs intermédiaires et affirmation de la primauté de la volonté populaire.