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OBSERVATIONS ON THE BIOLOGY OF THE AMBROSIA BEETLE GNATHOTRICHUS RETUSUS (LECONTE) (COLEOPTERA: SCOLYTIDAE)
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
The ambrosia beetle Gnathotrichus retusus (LeConte) (Coleoptera: Scolytidae) is primarily univoltine. The development of brood from eggs to adult took a minimum of 40 days in Douglas-fir logs. Brood production was proportional to gallery length. Boring activities shifted from shallow sapwood to deep sapwood over time. Gallery abandonments were mainly made by females on warm days in June and July.Gnathotrichus retusus can use both Douglas-fir and western hemlock stumps equally well for brood production. Brood emergence began in late April, peaked in late May, and ceased, with rare exceptions, in late June. The seasonal flight began in late April and had one major peak in June, with occasional catches through October when the weekly mean maximum temperature dropped below 15 °C. Brood emergence, seasonal flight, and the sex ratios of captured beetles varied with temperature. Diurnal flight showed a small peak in morning and a large peak at dusk, probably entrained mainly by light intensity and also influenced by temperature and relative humidity.
Résumé
Le scolyte Gnathotrichus retusus (LeConte) (Coleoptera : Scolytidae) est avant tout une espèce univoltine. Il a fallu au minimum 40 jours pour que les oeufs se développent jusqu’au stade adulte dans des troncs de Sapins de Douglas. La production des masses d’oeufs s’est avérée proportionnelle à la longueur des tunnels. Avec le temps, l’activité de forage s’est déplacée de la surface de l’aubier vers les couches plus profondes. Les tunnels étaient abandonnés surtout par les femelles au cours des journées chaudes de juin et de juillet.Gnathotrichus retusus peut se reproduire aussi bien dans des souches de Sapin de Douglas que dans des souches de la Pruche de l’Ouest. Au cours de l’étude, l’émergence a commencé à la fin d’avril, a atteint un sommet en mai et à cessé, à l’exception de certains individus retardataires, à la fin de juin. Le vol saisonnier a commencé à la fin d’avril et la courbe de vol comportait un seul sommet en juin : des individus ont par la suite été capturés à l’occasion jusqu’à la fin d’octobre, moment où la température maximale est tombée au-dessous de 15 °C. L’émergence, le vol saisonnier et le rapport mâles : femelles chez les individus capturés variaient en fonction de la température. Au cours de la journée, il y avait une faible période de vol le matin et une période intense au crépuscule, probablement régies surtout par l’intensité de la lumière et influencées aussi par la température et l’humidité relative.
[Traduit par la rédaction]
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- Articles
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- Copyright © Entomological Society of Canada 1993
References
- 3
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