Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Several host–parasitoid models were examined to assess the feasibility of parasitoid inundation as a means of pest control or eradication. The approach is comparative, to assess independently the effects of various ecological factors on the ease of control by this means. For most of the models, there exists a critical inundation rate, I*, above which the host population is eradicated, provided inundative releases continue beyond the time of eradication. The existence of density-dependent mortality in the hosts reduces the time to eradication but does not affect I*. Density dependence in the parasitoids, however, usually increases I*. The existence of hyperparasitoids appears to have no effect on the ease of host eradication.
Plusieurs modèles de la relation hôte–parasite sont examinés afin d'évaluer la possibilité du juguler ou d'extirper les ravageurs par des lâchers massifs de parasites. On procède par comparaison, afin d'évaluer indépendamment les effets des divers facteurs écologiques sur la facilité d'obtenir ainsi des résultats. Pour la plupart des modèles, il existe un point critique I*, au-dessus duquel les lâchers anéantissent la population cible, à condition qu'ils se poursuivent au même rythme au-delà du moment de l'annihilation. Chez les organismes cibles, la dépendance à l'égard de la densité avance l'annihilation, mais n'influe pas sur I*. Chez les parasites, la dépendance à l'égard de la densité augmente habituellement I*. L'existence des hyperparasites ne semble aucunement influer sur l'anéantissement des organismes visés.