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Published online by Cambridge University Press: 27 November 2009
Bien que les hostilités aient été suspendues en Orient dès l'armistice du 31 janvier dernier, nous avons laissé subsister notre Agence de Trieste. Même après la signature du traité de San Stefano, nous l'avons maintenue, non-seulement parce qu'il y avait encore de grands besoins à satisfaire, mais aussi parce que la paix n'était rien moins qu'assurée, et que d'un moment à l'autre nous pouvions être appelés à une recrudescence d'activité. Nous ne devions pas abandonner notre poste tant que les armées restaient en présence. Ce n'est que depuis le traité de Berlin, du 13 juillet, que nous avons pu songer à supprimer l'Agence. Elle n'a plus sa raison d'être, en effet, dans les circonstances actuelles, et nous la fermerons le, 31 courant.
1 Voir Bulletin No 32, T. VIH, p. 170.
2 Nos et 34, T. IX, p. 32 et 115.
3 Voir ci-après p. 276.