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Published online by Cambridge University Press: 11 October 2017
page 503 note 1. La grandes oeuvres politiques de Machiavel à nos jours, Paris, Colin, 1949 ; in-8°, XIII- 406 p.
page 504 note 1. Tout de même, il faut bien que j'use du bénéfice de l'âge… Et que je me demande pourquoi l'École Normale est toujours comme le vent, dit Gecias de Rabelais, lequel assemble les nuées ? Toutes les fois qu'on nous en parle (du dehors) c'est pour nous raconter des histoires qui nous laissent pantois, nous qui vécûmes sa vie du dedans. Ici, il s'agit, p. 309, du socialisme qui, « au témoignage très qualifié de Thibaudet », atteignait en France son « point culminant ». Il n'eût, en ce cas, point culminé très haut, car — Chambre des députés de 1902 : Bloc radical, 53 p. 100 ; Droite, 38 p. 100 ; Socialistes, 9 p. 100. Mais continuons à lire : « Les trois quarts de l'École Normale en relevaient. » Peste ! E t dire que nous ne nous en apercevions pas du tout, rue d'Ulm, même quand nous montions sur les toits pour voir de plus loin I Car enfin, j'en étais, j ‘y étais ; raison de plus pour que mon témoignage soit moins qualifié sans doute que celui de Thibaudet — qui oncques n'y fut ? Qu'on me laisse évoquer mes camarades, tous d'excellents professeurs et d'honorables savants : quelques-uns, grands. Dans ma promotion (1899-1900) nous étions 22. Je compte un socialiste, je dis bien : un. Il s'appellait Albert Thomas, et, chose alors surprenante, dès ses années d'École, il « militait » dans les rangs du parti socialiste unifié, dont il devait devenir une des têtes. Un sur 22, en dépit de témoignages « justifiés », cela ne fait tout de même pas les trois quarts ! — Mais plus tard, après votre sortie de l'École, vers 1905, certains d'entre vous ne furent-ils pas séduits par le Parti socialiste ? — Un ou deux, oui. Pas plus. Et qui n'y restèrent pas. Et sur qui l'anarchisme de filiation proudhonienne et bakouniniste eut une tout autre action que le guesdisme, voire le jauressisme, indépendamment de Jaurès. J'ajoute : après l'École, ce n'est pas pendant l'École.
page 506 note 1. Cf. dans Économie contemporaine, la Revue du Centre de Recherches et de Documentation économiques (décembre 1949), mon article « Le nombre ou les personnes ? Plaidoyer pour un peu de psychologie ».
page 506 note 2. Encyclopédie politique de la France et du Monde (2e édition). La France et l'Union Française. Paris, Éditions de l'Encyclopédie coloniale et maritime, 1950 ; in-8°, 2 vol., 364 et 406 p., 3 h. t. dépliants en couleurs.
page 507 note 1. Cahiers de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, n° 9 (A. Colin, 1950). [Voir cidessous, p. 525-527.] Le premier Cahier était déjà consacré à des Études de sociologie électorale (Ibid., 1947). — Il y a encore des données politiques dans le 12» Cahier, Études sur la banlieue de Paris (Ibid., 1950). Cf. Fondation Nationale des Sciences politiques, Association Française de Science politique, Journées d'Études des 26 et 27 novembre 1949.
page 507 note 2. G. Fhiedmann, Pour l'unité de l'enseignement, Humanisme du Travail et Humanités (Cahiers des Annales, n° 5), A. Colin, 1950. — Voir encore le numéro spécial de la Revue Socialiste («L'Enseignement. Problèmes 1950 ») et, plus récemment, Christianisme Social (janvier- février 1950), a Le statut de l'École en France », en particulier l'article de M. Jacques Bois, sur le projet du M. R. P., — ainsi que dans Le Semeur (été 1950), « Quelques débats sur l'Université » (avec une Bibliographie succincte pour la Réforme de l'Enseignement).
page 507 note 3. Voir, dans le premier numéro (mai 1950), les articles de MM. André Marchal (« Économistes et historiens ») et Fernand Bhaudel (« Pour une économie historique »)
page 507 note 4. Régime électoral et régime parlementaire en Grande-Bretagne (Cahiers de la Fondation Nationale des Sciences Politiques, n° 5), A. Colin, 1948.
page 507 note 5. J. Chérioux, B. Denis, M. Guillaume, Études politiques anglo-saxonnes : Irlande dm Nord, Connecticut, New York (n° 13), Ibid., 1950.
page 507 note 6. Annales (É. S. C), t. I (1946), p. 189.
page 508 note 1. Histoire Générale De Paris. Comptes du Domaine de la Ville de Paris, publiés par les soins du Service des Travaux historiques de la Ville de Paris. Texte édité et annoté par Alexandre Vidier, Léon Le Grand, Paul Dupieux (Introduction de G. Dupont-Ferrier), tome Ier (1424-1457). Paris, Imprimerie Nationale, 1948 ; in-4°, xxm-1054 col.
page 508 note 2. Tome XVI (1614-1616), fascicule II, texte édité et annoté par Pierre Daudet, Paris, Imprimerie Nationale, 1948 ; in-4°, p . 305-616 et I-XXIV.
page 508 note 3. Paris, Imprimerie A. Lahure, 1945 ; in-8°, 615 p. (Collection d'Histoire de Paris). Index .général pour les deux tomes, p. 553-608.
page 508 note 4. « La carte des opinions françaises », Annales, E. S. C, 1949, n° 4, p . 406-414.
page 509 note 1. Durand, Abbé Valentin, Le Jansénisme au XVIIIe siècle et Joachim Colbert, évêque de Montpellier (1738-1796). Toulouse Google Scholar, Edouard Privât, 1907 ; in-8°, p. 354-355.
page 509 note 2. Gabriel Le Bras, Notes de statistique et d'histoire religieuses dans Revue d'histoire de l'Église de France, 1936, p. 475-476.
page 509 note 3. Arch. Hérault, série G, Fonds de l'Évêché de Lodève, Portefeuille des visites pastorales. Cf. Emile Appolis, Les protestants dans le diocèse de Lodève en 1659 dans Bulletin philologique et historique, 1936-1937, p. 94 et 97.