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Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
2. Bolin, Sture, State and Currency in the Roman Empire to 300 A. D., Stockholm, Almqvist-Wiksell, 1958, in-8°, 857 p..Google Scholar
1. On remarquera toutefois l'importante note 2 de la p. 181, ajoutée après coup au moment de la correction des épreuves. M. Bolin y fait siennes les critiques que M. R. Thomsen vient de formuler (Congrès international de numismatique, Paris, 6- 11 juillet 1953, t. II, 1957, p. 193 et suiv.) contre la thèse des deux numismates anglais ; mais il déclare n'avoir pu modifier son texte en conséquence, pour des raisons techniques fort compréhensibles. On peut donc prévoir que, sur ce point, M. Bolin se rectifiera lui-même dans une prochaine publication. M. Thomsen vient d'ailleurs d'exposer à nouveau ses conclusions dans son livre Early Roman Coinage. A study of chronology, I : The évidence, Copenhague, 1957
1. Noter que la dévaluation de Septime Sévère daterait plutôt de 194-195, selon M. J. Guey, dans Bulletin de la Société Nation, des Antiquaires de France, 1952- 1958, p. 90.
1. M. Bolin accepte ici la lecture courante du fragment d'Elatée. Il rejette catégoriquement l'interprétation de M. H. Mattingly, dans Numismatic Chronicle, VI, 1946, p. 113, qui propose de fixer le prix de la livre d'or, en 801, à 10 000 deniers pour l'or en lingots et 12 000 pour l'or monnayé. On sait que la thèse du numismate anglais a été adoptée par divers savants, en particulier par M. S. Mazzarino, qui en a déduit (dans ses Aspetti sociali del quarto secolo, p. 111-118, 849-850 et 486) que l'Histoire Auguste (Aurel., 54, 5), parlant de la soie qui vaut son pesant d'or, se référait à l'édit du maximum dans lequel la livre de soie est taxée à 12000 deniers. M. Bolin a au moins raison de recommander la prudence sur ce point, en montrant que le problème n'est pas encore résolu.