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Published online by Cambridge University Press: 25 May 2018
1. Les deux compagnies londoniennes du Sun et du Royal Exchange conservent environ 1 200 000 polices pour le XVIIIe siècle, selon D. T. Jenkins. Les premiers résultats du dépouillement de ces fonds immenses ont été présentés par S. D. Chapman, « Fixed capital formation in the British cotton industry 1770- 1815 », Economie history review, 1970, pp. 235-266, et «The textile factory before Arkwright », Business history review, 1974, pp. 451-478. Le premier article est reproduit dans J. P. Higgins et S. Pollard, Aspects of capital investment in Great Britain, 1750-1850, Londres, 1971, avec la discussion qui a suivi la présentation de son contenu à la Conférence de Sheffield en 1969. Outre la Compagnie du Royal Exchange, dont l'histoire a été écrite par S. Supple (The Royal Exchange Assurance. A history of british Insurance, 1720-1970, Cambridge Univ. Press, 1970), le système britannique d'assurances vient de faire l'objet d'un travail de synthèse : M. A. L. Cockerell et Ed. Green, The British insurance business, 1547-1970, Heinemann, Educational Books, 1976, 142 p.
2. Les sièges sociaux des grandes compagnies françaises ne conservent que quelques épaves de polices, échappées au pilon pour l'autographe de leurs signataires. Mais il est possible que de petites compagnies provinciales ou des agences locales aient conservé leurs fonds.
3. R. G. Wilson, Textile History, 1976, pp. 194-196.