Hostname: page-component-78c5997874-j824f Total loading time: 0 Render date: 2024-11-10T08:05:11.341Z Has data issue: false hasContentIssue false

Amériques.

Published online by Cambridge University Press:  11 October 2017

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Outillage et Documentation
Copyright
Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1950

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

1. Les cartes en couleurs des pages 250-251 déparent malheureusement le livre — sans que l'auteur y soit pour rien. Elles maintiennent les pires traditions des cartes scolaires et semblent dater de 1880 : couleurs brutales, aucune personnalité ni dans l'exécution ni dans la conception. D'où sortent-elles ? La carte des voies de communications est une stupeur : elle n'omet que l'avion 1 On croirait, à la regarder, qu'il n'y a pas moyen aujourd'hui d'aller de Rio à Belem autrement que par des cabotages aléatoires : mais on y va en quelques heures par avion (Rio, Bello Horizonte, Montes Claros, Carolina). De même qu'on va de Belem à Recife par S. Luiz, de Recife à Porto Alegre par Salvador, Vitoria, Rio, S. Paulo et Florianopolis — et de Belem à Quito par Santarem et Manaos. Des cartes comme celles-là sont désastreuses. Elles constituent, vis-à-vis d'hommes comme J. Gottmann et, éventuellement, plus tard, comme Pierre Gourou, une véritable trahison. — Rectifier la légende de la planche 45, Montevideo : ce qu'on voit « dans le fond » ce n'est pas « le port sur le Rio de la Plata » ; ce sont, exactement à l'inverse,vles plages sur l'Océan. Je reviens sur cette désastreuse carte des communications. L'avion est d'usage journalier ; 11 y a plusieurs compagnies à côté de la Panair : la Cruzeiro do Sul notamment, qui eut pour base l'ancienne compagnie allemande Condor. Et l'avion reste le seul moyen pratique d'aller, par exemple, de Rio à S. Paulo. Jean Gottmann le sait bien. Pourquoi son éditeur l'ignore-t-il ?