No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 26 July 2017
1. Dans Harvard Theological Reviem, 1946, pp. 213-215.
2. The impérial civil service of Borne, Cambridge, 1910.
3. H. G. Pflaum, « Principes de l'administration romaine impériale », dans Bulletin de la Faculté des Lettres de Strasbourg, déc. 1958.
1. Corpus Inscriptionum Latinarum, consilio et auctoritate Academiae Scientiarum Germanicae editum, Suppléments du vol. VIII, 5e partie, fasc. 3 : Indicum fasc. tertius, Berlin, W. de Gruyter, 1959, in-fol., pp. 243-429.
2. Voir notre argumentation dans Libyca, VI, 1958, pp. 7-19.
3. Cf. le tableau chronologique qu'a dressé W. Seston, dans Revue des Etudes Anciennes, XXXIX, 1937, p. 218.
1. Sur cette question, voir en dernier lieu H. Doerries, Das Selbstzeugnis Kaiser Konstantins, Gôttingen, 1954, pp. 282-283, dont nous rectifions très légèrement la conclusion. L'inscription C.I.L. II, 2205, de Cordoue, qui qualifie Constantin à la fois d'Invictus et d'Aeternus, est très évidemment antérieure à 324 ; c'est en effet par une grossière méprise que le Corpus, confondant Aeternus et Divus, propose la date de 337, après la mort de l'empereur. Aeternus est un titre d'empereur vivant : Constantin vivant est appelé Aeternus par CIL II 2203 ; de même, Dioclétien est dit Aeternus sur une inscription de Padoue en 289 (C.I.L. V, 2817) et sur une monnaie émise en 307-8 par l'atelier de Lyon (G. Fabre et M. Mainjonet, XIIe Supplément à Gallia, 1958, p. 139).