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Published online by Cambridge University Press: 25 May 2018
1. Outre le dossier, cf. en France C. de Condren (pp. 47-48), J.-B. Morin (pp. 28-55), N. Caussin (p. 41), J. de Billy (p. 38), Yves de Paris (pp. 49-51), etc., ou, en Angleterre, l'abondante littérature sur le sujet (p. 70, n. 201). A propos de l'axiome astrologique « les astres inclinent sans nécessiter », l'auteur suggère, très justement, un « parallélisme des concepts et du vocabulaire employés dans les discussions théologiques sur la grâce avec certains de ceux de l'astrologie » (p. 45, n. 133).
2. Titre d'un sermon qui est prononcé en 1653 sous son patronage; cf. p. 65, n. 189.
3. Cf. p. 86, n. 246, et Hooykaas, R., Religion and the rise of modem science, Edinburg & London, 1970 Google Scholar.
4. Cf. par ex. Keith Thomas, « Astrology : its social and intellectual rôle », Religion and the décline of magie, rev. éd. Penguin, 1973, pp. 383-424.
5. Cf. le nouveau livre, une fois de plus si aigu et original, de Yates, Frances Amelia, Astraea : the impérial thème in the sixteenth century, London, Routledge & Kegan Paul, 1974 Google Scholar, sur la mythologie politique qui met Elisabeth d'Angleterre sous le signe d'Astrée à partir de 1581 et justifie la monarchie en lui faisant place dans le ciel. Cette médiation politique du ciel et de la terre s'impose encore au Xviie siècle.
6. Cf. en particulier, sur les rapports entre la notion néoplatonicienne de Saturne (lieu de la « mens contemplatrix ») et la doctrine « aristotélicienne » du tempérament mélancolique, le beau livre de Raymond Klibansky, Erwin Panofsky et Saxl, Fritz, Saturn and Melancholy. Studies in the histqry of natural philosophy, religion and art, Cambridge, Nelson, 1964, pp. 209–214 Google Scholar et 241-274.