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Published online by Cambridge University Press: 30 October 2017
Les deux dates de 1266 et de 1282, assignées pour termes à cette étude, n'ont point été choisies arbitrairement. On admettra volontiers, a priori,que la sécession de l'île de Sicile, puis sa conquête par les Aragonais aient pu modifier l'économie du royaume angevin. Le terminus a quopeut sembler plus discutable ; l'accession de Charles d'Anjou au trône de Sicile est, en apparence du moins, un événement purement dynastique et l'on sait qu'en matière de commerce, de taxes, le prince angevin conserve, pour une large part, la législation de son prédécesseur. Mais la substitution de Naples à Palerme, capitale du royaume souabe, l'instauration d'une politique méditerranéenne plus ambitieuse et plus ferme, la place prise d'emblée par Charles Ier à la tête de la coalition guelfe d'Italie n'en confèrent pas moins à la date de 1266 une indéniable importance dans l'ordre économique même.
page 483 note 1. La salma generalis contient 8 thumini (tomoli). Le thuminus generalis vaut 20 litres. — Ces chiffres ne représentent très certainement qu'une infime partie de la production totale du royaume. Ils ne comprennent pas, en particulier, les quantités consommées sur place et dont il n'est point trace dans les registres angevins. On sait, d'autre part, que la série de ceux-ci n'est pas complète, de sorte que nous ne possédons même pas le total exact des exportations. Du moins, les chiffres que je cite peuvent-ils donner une idée de la place tenue par la Sicile sur le marché des céréales.
page 484 note 1. Principat citérieur : région de Salerne ; Principat ultérieur : région de Bénévent et d'Avellino.
page 484 note 2. Arch. di Stato in Napoli, Reg. A.ngioino 27, f° 78 v°.
page 484 note 3. « Quia ipsum melius et salubrius conservatur quam frumentum Sicilie » (Reg. Ang. 39, f° 141 v°j.
page 484 note 4. Reg. Ang. 38, f° 86.
page 484 note 5. La différence de prix entre le frumentum bonum et le commune est très faible ; on a, pour la même somme, 260 litres de bonum ou 280 de commune (Reg. Ang. 13, f° 261). Impossible d'admettre que l'expression frumentum commune désigne quelque céréale inférieure telle que le seigle.
page 484 note 6. Il est dit, dans un document, que les habitants de Cava dei Tirreni sont « valde pauperes et non habent unde vivant nisi ex castaneis aliisque fructibus » (Notamenti de De Lellis,voi.l, f° 831). On sait que cette précieuse collection d'analyses, compilée au XVIIe siècle par Carlo de Lellis, est aujourd'hui conservée à l'Archivio di Stato de Naples.
page 484 note 7. Je me propose de faire connaître, dans une prochaine étude, certains aspects démographiques de l'histoire angevine. On y verra comment la conquête du royaumede Sicile par un peuple de terriens modifia profondément la carte démographique de l'Italie méridionale.
page 485 note 1. Reg. Ang. 8, f° 177 v°. — Pardi, G., Storia demografica délia città di Messina dans Nuova rivisla storica. t. V (1921), p. 41.Google Scholar
page 485 note 2. Du même Pardi, , La popolazione délia Sicilia attraverso i secoli dans Archivio stor. siciliano. nuov. ser., t. XLIX (1928), p. 178–179 Google Scholar et Lo sviluppo demografico di una città siciliana (Caltagirone) dans Archivio storico ilaliano, ser. VII, t. I.
page 485 note 3. Charles Ier ordonne à certains officiers d'acheter du blé « pretio quo in partibus ipsis vendi inter privatos inveneritis » (15 octobre 1269; Reg. Ang. 6, f° 258 v°), et encore « communi foro frumenti ad quod inter omnes habetur » (12 mars 1270 ; Arch. délia R. Zecca, vol. 2, n° 49) ; ailleurs, il est question des « voluntarii venditores » qui offrent leur blé (23 octobre 1276 ; Reg. Ang. 22, f° 72 v°) ou des « homines mercatores qui frumentum et ordeum emunt assidue in terris illis (Capitanate) et ipsum déférant ad vendendum in Tranum a (24 avril 1271 ; Arch. délia R. Zecca, vol. 3, n° 113).
page 486 note 1. On disait aussi jus exiture ou tracta (en italien : traita). Sur la législation fiscale de Frédéric II et, notamment, sur les droits de circulation frappant les céréales, on verra, outre le chap. XXXIV de Schaube, Handels geschichte der Eomanischen Vôlker des Mittelmeergebiets, — W. Cohn, L'elà degli Hohenstaufen in Sicilia ; trad. Libertini (Gatane, 1932, in-8°), p. 171 et suiv. et Monti, G. M., Lo stato normano-svevo (Naples, 1934, in-8°), p. 56 et suiv.Google Scholar
page 486 note 2. Le 6 octobre 1281, les magasins de la Curia à Trapani vendent à un Florentin nommé Mazzotto 1 000 saumes de blé pour 500 onces. Ce blé pourra être exporté par mer à Pise, « sine aliquo jure exiture » (Reg. Ang. 39, f° 197 v°).
page 486 note 3. Par exemple, en juin 1271 (Reg. Ang. 13, f° 141 v°).
page 487 note 1. Reg. Ang. 13,f°141 v°; Reg. 14,f°300 ; Reg. 17, f°15 v°.
page 487 note 2. Je n'en ai trouvé qu'un seul exemple. Il s'agit d'un achat de 20 000 saumes de blé à effectuer en Basilicate et en Capitanate : juillet 1275 (Reg. Ang. 21, f° 287 i“> et v°).
page 487 note 3. Reg. Ang. 29, f°216 v°.
page 487 note 4. Plusieurs de ces instruments ont été conservés. Par exemple, Arch. délia R. Zecca, vol. 2, n° 49 et vol. 3 ,n° 113.
page 488 note 1. Reg. Ang. 28, f° 64 v°.
page 488 note 2. Reg. Ang. 22, f° 83 v°.
page 488 note 3. Plusieurs de ces bordereaux nous sont conservés (Reg. Ang. 28, f° 43 v° ; Reg. 29, f° 216 v° ; ibid., f° 204 ; Reg. 21, f° 290).
page 488 note 4. Reg. Ang. 29, f° 129 v° ; Reg. 39, f° 144 (il sera question, plus loin, de cet incident).
page 489 note 1. Reg. Ang. 23, f° 116 v° ; reg. 15, f° 135.
page 489 note 2. Reg. Ang. 29, f° 154 v°.
page 489 note 3. Arch. di Stato in Napoli, Fascicoli sparsi, II, M. 2 (cote provisoire dans cette série en voie de classement).
page 489 note 4. Fascicoli sparsi, II, M. 2 (tarifs par terre et par mer de Brindisi à Trani) ; Reg. Ang. 15, f° 135; Reg. 10, f° 193 ; Reg. 18, f° 50 v°. (La même année et la même saison, je trouve ce même tarif de 4 onces pour le transport de la même quantité de blé de Brindisi à Valona seulement : Reg. 14, f° 223 v°.)
page 489 note 5. Reg. Ang. 2, f° 102 ; Reg. 10, f° 135 ; Reg. 17, f°s 52, 69 v°, etc.
page 490 note 1. Voici le texte, très suggestif, d'un mandement adressé par le roi au justicier du Principat, le 16 décembre 1274 : « Cum ad partes Terre Laboris in proximo, Deo duce, per viam et stratam Crepacordii accedere intendimus, fidelitati tue… precipimus… quatinus in singulis locis et partibus jurisditionis tue per que predictam stratam Crepacordii, euntes in Terrain Laboris, transitum habere debeamus, et vallonibus seu lluviis in itinere ipso sistentibus per quos sine pontibus transitus salubriter haberi non potest, pontes Hgneos fieri facias, et qui facti fuerunt hactenus, sic comode per homines vicinorum locorum per quos id consuevit fieri hactenus, facias celeriter et comode reparari, quod abinde habiliter et salubriter et bene nos cum gente nostra transire possimus… » (Reg. Ang. 20-21, f° 221). — Un utile, mais trop bref, aperçu sur le tracé des routes du royaume angevin a été donné par ED. Sthamer, Die Hauptstrassen des Königreichs Sicilien. Jahrhundert dans Sludi di storia napolelana inonore di Mich. Schipa (Naples, 1926), p. 110 et suiv.
page 490 note 2. Eeg, Ang. 22, f° 80.
page 490 note 3. F. Balducci Pegolotti, La pratica délia mercatura, éd. A. Evans, 1936, p. 111- 112 (éd. Pagnini, p. 101-102).
page 490 note 4. Ordre de vente adressé, en date du 19 mars 1278, par le roi au trésorier du château de l'OEuf : « Quia intelleximus quod frumentum generaliter venditur in Neapoli ad rationem de tareno auri uno et medio pro quolibet thumino, et velimus quod usque ad salmas octingintas ad salmam generalem de frumento Curie nuper delato de partibus Sicilie… ad rationem predictam de tareno uno et medio pro quolibet thumino, sicariori pretio vendi non poterit, vendere debeatis…»(Reg. Ang. 32, f°183). — On trouve encore ici la preuve que les prix étaient établis par le marché libre et privé.
page 491 note 1. Voir ci-dessus, n. 3, p. 435 et Chone, H., Die Handelsbeziehungen Kaiser Friedrichs II zu den Seeitadten Venedig, Pisa, Genua (Berlin, 1902, in-8°), p. 96 Google Scholar (Hist. Studien verôffentlich von E. Ebering, heft 32).
page 491 note 2. Voir, par exemple, Reg. Ang. 28, f° 67 v°.
page 491 note 3. Par exemple, Reg. Ang. 26, f° 167 v°.
page 491 note 4. Reg. Ang. 43, fos 104 v°, 106-109 (comptabilité relative à une vente de 100 000 saumes de blé effectuée en diverses régions). — Par exemple, Reg. 26, fos 290 v», 294 ; Reg. 32, f° 181 ; Reg. 37, f° 27 V. — Reg. 2, f°s ; Reg. 3, foa 69, 129, etc.
page 492 note 1. Lors de la disette de 1269, Naples, Salerne, Amalfi, Sorrente, Ischia bénéficient d'une dérogation de ce genre (Reg. Ang. 4, f° 126 v°).
page 492 note 2. Reg. Ang. 9, f° 60 v°.— On lit, dans une autre lettre : «… Carestia orta in Terra Laboris propter nostram presentiam et magis propter malitiam illorum qui fraudulenter tenent victualia occultata » (Reg. 6, f° 70 v°).
page 492 note 3. Notamenti de De Lellis, vol. VHP, M84. — Reg. Ang. 6, f° 258 v°.
page 492 note 4. Ce privilège se fonde sur de curieux considérants : « …Quia circa forum rerum venalium studentium status et studii conservacio in magna parte consistit… » (Reg. Ang. 70, f° 27). Cf. Matteo Caméra, Memorie dell'antica città e ducalo di Amalfi, t. I, p. 476.
page 492 note 5. Notamenti de De Lellis, vol. VIII1, f° 184.
page 492 note 6. On trouvera, dans la Storia dell'Università di Napoli (Naples, 1924, in-8°), p. 136 et suiv., un bref aperçu de cette question donné par G. M. Monti. Voir, en outre, Reg. Ang. 10, f°s16 V, 38 v° ; Reg. 6, f°s 70 v°, 71, etc.
page 493 note 1. Dans les documents angevins, les prix des céréales sont presque toujours évalués en monnaie de compte et non en monnaie réelle : onces d'or (26 grammes 554, tarins d'or (1 /30e de l'once), grains d'or (1 /2Ce du tarin). — Voir la première note de cet article, p. 483.
page 493 note 2. Mubatori, Annali d'Imlia, anno 1270. — C'est à tort, je pense, que ce texte explique cette famine par la guerre vénéto-génoise qui sévissait alors.
page 493 note 3. Reg. Ang. 6, M 71 V.—Arch. délia R. Zecca, vol. 2, n°49.
page 493 note 4. Reg. Ang. 6, f° 98 v°.
page 494 note 1. Arch. délia R. Zecca, vol. 3, nos 111,113, 134.
page 494 note 2. Cf. Reg. Ang. 13, f° 261. Mandement du 27 déc. 1271 : « Licet… in curia nostra provisum fuerit et statutum ut frumentuin et ordeum emi deberetur in Napoli, si inveniretur, ad rationem ….»
page 494 note 3. Arch. di Stato in Napoli, Fascicoli, n° 21, f° 130.
page 494 note 4. Reg. Ang. 15, f° 146 v°.
page 494 note 5. Notamenti de De Lellis, vol. VIII1, f° 108.
page 494 note 6. Reg. Ang. 20-21, f° 290 ; Reg. 22, f° 81, 96. —Fascicoli, nos 24-27, f°a133 v°, 146 v°, 147 v°, 150…. — Reg. Ang. 20-21, f° 290. — Reg. 22, f° 80. — Reg. 9, f° 138 ; Reg. 24, fos 64, 68.
page 494 note 7. Reg. Ang. 20-21, f° 361.
page 494 note 8. Fascicoli, nos 24-27, fos 147 v°, 150.
page 494 note 9. Reg. Ang. 23, f° 116 v0.— Arch. délia R. Zecca, vol. 4, n° 266.
page 494 note 10. Reg. Ang. 23, f° 116 vo.
page 495 note 1. Reg. Ang. 25, fos 1 v°, 2, 3. — Syllabus membranarum ad H. Siclae archivum pertinentium (Naples, 1824-1832), t. II, p. 124. — Fascicoli, n° 29, fos 5, 31.
page 495 note 2. Reg. Ang. 28, fo 43 v°.
page 495 note 3. Fascicoli, n° 29, f° 180.
page 495 note 4. Reg. Ang. 30, fos 179 v°, 214 v°.
page 495 note 5. Reg. Ang. 8, f° 103 v° ; Reg. 37, f 86.
page 495 note 6. Reg. Ang. 30, f° 189 v° ; Reg. 41, f° 59 v°, etc.
page 496 note 1. Reg. Ang. 40, f° 91.
page 496 note 2. C'est en juillet-septembre 1276 que j'ai trouvé les cours les plus bas ; l'abaissement des droits d'exilura fut décidé en octobre 1276.
page 496 note 3. Voir, ci-dessus, n. 1, p. 493.
page 497 note 1. Voir le contrat passé entre le roi et un fondeur ( de Boûard, A., Documents en français des Archives angevines de Naples. ** Les comptes des Trésoriers. Paris, 1935, in-8°, p. 177 Google Scholar et suiv.).
page 497 note 2. Voir les réflexions formulées à ce sujet par Monti, G. M., Da Carlos I° a Roberto di Angio (Trani, 1936, in-8°), p. 212.Google Scholar
page 497 note 3. De 1277 à 1284, je trouve les chiffres suivants : 1 once d'or = 3 livres 13 sous provinois, ou 2 livres parisis, ou 5 florins, ou 12 besants. — 1 marc de tournois ou de sterlings = 31 tarins d'or. — 1 marc de vénitiens ou de millaris (arabes) = 32 1 /2 tarins d'or. — 1 livre d'argent de Provence, de Poitou, d'Anjou, de Chiarenza ou de petits tournois = 12 tarins d'or (Reg. Ang. 3, fos 57, 58 v° ; Reg. 5, f 161 ; Reg. 8, f° 122 v° ; Reg. 9,M48 vo ; Reg. 10, fo 147 V ; Reg. 30, fo 16 ; Reg. 41,f° 30).
page 497 note 4. A. De Boüard, ouv. cité, passim.
page 498 note 1. Je ne suis pas en mesure, faute d'indications assez précises, de confronter les prix du blé en gros et ceux du pain au détail. Cette comparaison n'eût pas manqué d'intérêt.
page 498 note 2. Voir surtout G. Yver, Le commerce et les marchands dans l'Italie méridionale au XIII e et au XIV siècle (1903), p. 106-107. — Mr Yver s'appuie sur l'autorité de Pegolotti, qui écrivait au XIVe siècle.
page 499 note 1. H. Chone, ouv. cité, p. 126.
page 499 note 2. Reg. Ang. 30, f° 178.
page 499 note 3. Reg. Ang. 40,f°32 v°.
page 499 note 4. Reg. Ang. 39, f° 144. — Notamenti de De Lellis, vol. VI, f° 370. — Arch. délia R. Zecca, vol. 8, n° 658.
page 499 note 5. Schipa, M., Nobili e popolani in Napoli nel medio evo, in rapporto alVamministrazione municipale (Florence, 1925, in-8°), p. 45–46.Google Scholar
page 499 note 6. M., Schipa (Contese sociali napoletane nel medio evo. Naples, 1906, in-8°, p. 121)Google Scholar pense que ces nouveaux magistrats doivent être identifiés avec les sei viri élus en 1306 pour assurer la perception d'une gabelle destinée à couvrir les frais de la reconstruction du port de Naples. Mais les magistrats dont je parle ne sont pas des percepteurs : ils sont chargés du service de l'annone. L'hypothèse de Mr Schipa est donc difficilement acceptable. D'autre part, le baiulo qui, jadis, assurait le service de l'annone, est mentionné dans les textes, pour la première fois, en 1282. Rencontre frappante. Je pense donc que les sei viri furent élus à Naples pour parer à la crise du ravitaillement qui suivit la perte de la Sicile. La persistance de cette magistrature indique assez qu'il s'agit, cette lois, d'une crise profonde et non plus d'une disette passagère. Quant au chiffre de 6 magistrats qui a frappé Mr Schipa, il n'est pas rare. Je trouve, en 1266, sex probi homines qui ont mission de contrôler, au nom de l'Université, les prix des loyers (Reg. Ang. 70, f° 27). En 1294, puis en 1305, on note encore des commissions éphémères de six membres, élues par Yuniversitas pour remplir diverses missions (Summonte, Historia délia città e remo di Napoli ; 3e édit-, Naples, 1748,1.1, p. 165).
page 500 note 1. Notamenti de De Lellis, vol. VIII, f° 775.
page 500 note 2. M. Schina, Contese sociali…, p. 67-69. — Del Giudice, G., Une legge suntuaria inedita del 1209 (Naples, 1887, 340 p.).Google Scholar — On pourra comparer le texte de cette loi avec celui, beaucoup moins sévère, que promulgua, en 1279, Philippe le Hardi (édit. Duplès-Agier dans Bibl. de l'École des Chartes, t. XV, 1853-1854).
page 500 note 3. Reg. Ang. 128, f»s 18, 129 v°.
page 500 note 4. Reg. Ang. 62, f° 138 v°.
page 500 note 5. Beveridge, W., The vield and priée of corn in the middle-ages. dans Economie history (a supplément to The économie journal), vol. I (1926-1929), p. 163–165.Google Scholar
page 500 note 6. Voir ci-dessus, n° 6, p. 484 et Reg. Ang. 128, f° 18. — Reg. 128 (Liber expensarum de Charles II), passim. — G. Yver, Le commerce et les marchands,.., p. 107.