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Published online by Cambridge University Press: 25 October 2017
page 305 note 1. Histoire de Villefranche, capitale du Beaujolais. Villefranche, J.Guillermet, 1932, in-8°, 312 p., 3 pi. hors texte, 58 fig. dans le texte.
page 305 note 2. Mais où est le plan de Villefranche en 1930 qui permettrait la comparaison ? Où, l'extrait de carte topographique permettant de suivre le texte et de l'interpréter, d'encadrer Villefranche dans la campagne qui l'entoure. Faut-il dire à quel point la grande « Carte historique du Beaujolais dans sa plus grande extension » que Mr Balloffet. donne hors texte «st inutile, dénuée de sens et de portée et, privée qu'elle est de toute indication de relief, de tout tracé de routes, proprement illisible au sens géographique du mot ?
page 305 note 3. Naturellement, on pourrait continuer longtemps sur ce ton. Capitale du Beaujolais, dit M'Balloffet de Villefranche. Mais qu'est-ce que ce Beaujolais ? Il est proprement désolant et, faut-il le dire, vexant de constater que de tout le labeur, de toutes les conquêtes de nos géographes et de nos historiens, rien, strictement rien n'a passé dans un livre comme celui-là. Qu'on ne croie pas, hélas, que ce soit là une exception. Je reçois à l'instant une Notice historique sur Barmans et Sainte-Colombe, rédigée par Mr Just Claudet (Besancon, Chaffanjon, 1932, in-8”, 78 p.) : 11 s'agit de deux villages de la région de Pontarlier en Franche-Comté, possédés pendant 8 siècles par l'abbaye de Eomainmotur près de Lausanne : rien de déconcertant comme l'absence de tout recours à des ouvrages aussi généralement inconnus que, par exemple, l'Histoire de la Gaule de Camille Jullian. Des documents d'archives d'une part ; des livres vieux de 50 ans, au moins, de l'autre : c'est la formule….
page 306 note 1. Tournus, Amis des Arts et des Sciences, 1932 ; in-8°, 120 p., nombreuses pi. phot. et Illustrations de B. Daliony, E. Violet et Chafanel.
page 306 note 2. Cf. Febvre, L., La maison urbaine, une monographie, une méthode dans Annales, 1.1, 1929, p. 293.Google Scholar
page 306 note 3. Mr Jeanton confirme (p. 8 n. 1) ce que l'on croyait sentir en lisant l'étude de J. Rambaud sur Les maisons-types de la Bresse, du Beaujolais et du Maçonnais dans l'Engulte de Foville : cette étude est sans valeur. — Sur la question des toits à tuiles creuses, utiles rectifications locales au tracé de J. Brunhes, p. 54 n. 1.
page 306 note 4. Il parle des galeries que le C Quenedey signale dans quelques maisons urbaines du Vieux Rouen. Il en existait, beaucoup moins loin du Maçonnais, à Besançon (cour du Saint-Esprit notamment) et en divers endroits de Franche-Comté. M’ Jeanton ne parait pas connaître la Comté ; il y aurait trouvé de nombreux « prolongements » pour ses constatations.
page 307 note 1. A quand une carte générale de ce que Mr Jeanton appelle des cadoles, les Bisontins des cabordes, les paysans de la moyenne Garonne des gariotes (voir la thèse récente de P. DeJfontaines, pi. 15 et p. 52) ? On sait qu'il existe des constructions pareilles en de bien autres contrées (par exemple dans la Pouille ; E. Bertaux Jadis les a étudiées).
page 307 note 2. Annale», t. III, 1931, p. 561.
page 307 note 3. Paris, E. Droz, 1931 ; in-8°, 166 p.
page 307 note 4. Ceux-ci se posent, chemin faisant, quelques questions qu'ils ne savent pas toujours résoudre. Voici, par exemple, la numération. M'Lhermet donne la liste des nombres de 3 à 20, puis le noms, des dizaines (p. 149). 70, 80, 90 se disent : sieissonto dèt ; quatre-bint ; quatre-bint dét ; bon, mais n'y a-t-il pas trace des vieilles formes septante, octante, nonante ? N'exlste-t-11, pareillement, aucune trace de numération vigésimale (six-vingt, sept-vingt, etc.)? En d'autres termes, ce qui ne figure pas dans le Lexique doit-il être tenu toujours pour Inexistant dans le parler ?
page 308 note 1. Entre parenthèse, M1 Jeanton pour son enquête aurait eu profit à consulter un certain nombre de ses cartes. Mais ces hardiesses ne sont guère dans nos moeurs,…