Dans notre dernière chronique, nous avons été amené à expliquer en quoi la dévaluation du franc modifiait fondamentalement les facteurs régissant la conjoncture économique beige.
L'attention a été principalement attirée sur les changements intervenus dans l'équilibre des prix et sur le fait que les nouvelles relations de prix devaient tendre à une expansion de la vie économique, tandis que les anciennes relations poussaient à une contraction générate de celle-ci. Sauf les premiers mouvements de nos indices de prix, il n'était toutefois pas encore possible d'indiquer des résultats acquis. Ce sera notre tâche, aujourd'hui, de commenter ces premiers résultats.
Comme nous le laissions prévoir la dernière fois, les perspectives restent diatmètralement opposées selon que l'on considère le marché intérieur ou les relations internationales.