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Misleading Questions and Irrelevant Answers in Berkeley's Theory of Vision
Published online by Cambridge University Press: 25 February 2009
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Berkeley's essay on vision was published in the spring of 1709. It was recognised at once as a book of considerable importance, and there was a second edition within the first year. The author was still only 24. His design, he wrote, was to show the ‘manner we perceive by sight the distance, magnitude and situation of objects’. Hitherto, writers on optics had ‘proceeded on wrong principles’.
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- Copyright © The Royal Institute of Philosophy 1968
References
1 An Essay Towards a New Theory of Vision (Fraser Edition), sect. 1. (Further references to this work will be given as NTV.)
2 Thus compare Bacon, Roger, Opus MainsGoogle Scholar, Pars secunda, distinctio tertia, caput III, ‘Comprehenditur uero et certificatur distantia, si fit mediocris, per continuationem et ordinationem corporum sensibilium interiacentium inter uisum et rem remotam…’ with Tacquet, Opera Mathematica, 1668, p. 136f., ‘Quomodo distantiam uisus percipiat … ex corporibus interjectis, uel infra oculum, ut terrae superficie, uel lateraliter, ut muro aut serie domorum, uel supra …’, with Molyneux, William, Dioptrica. Nova, A Treatise of Dioptricks, 1960, p. 113Google Scholar, ‘Wherefore Distance is chiefly perceived by means of interjacent Bodies, as by the Earth, Mountains, Hills, Fields, Trees, Houses’, etc., and with Berkeley himself, NTV., sect. 3.
3 Berkeley's translation of Barrow, NTV, sect. 29.
4 NTV., sect. 45 (slightly abridged).
5 The topic of the blind man who receives sight was first raised apparently by Molyneux in a letter to John Locke of 1693. It was introduced into the second edition of Locke, 's EssayGoogle Scholar, was critically examined by Leibniz, in Nouveaux Essais, livGoogle Scholar. 2, chap. 9, and mentioned by Berkeley in about 15 entries of his Philosophical Commentaries. (See, for instance, Luce, A. A., Berkeley and Malebranche, p. 33.)Google Scholar
6 NTV., sec. 41.
7 Ibid., sect. 3.
8 Ibid., sect. 16 and 18.
9 Ibid., sect. 27.
10 Ibid., sect. 56.
11 For instance, see Perspectiva of the thirteenth-century Witelo: ‘Non est ergo possibile ut glacialis comprehendat rem uisam secundum suum esse nisi quando comprehendit colorem uel formam unius puncti rei uisae ex uno tantum puncto suae superficiel uisus.…’ Vitellonis Opticae, Basle edn., 1573, p. 93.Google Scholar
12 Ibid., p. 92, ‘Omnes itaque diffusionis quarumcunque uisarum formarum, quae sunt perpendiculares super superficies tunicarum uisus, continentur in pyramidem cuius uertex est centrum uisus et cuius basis est circulus foraminis uueae.…’ (The whole eyeball was referred to as the ‘uuea’.)
13 Loc. cit., ‘… quoniam in eodem puncto occurrunt formae admixtae ex multis formis diuersis et ex coloribus diuersis et non distinguetur aliquid in illis.…’
‘… illae formae refringuntur a diaphanitate tunicarum uisus et non perueniunt ordinate ad uirtutem uisiuam, unde non fit distinctio uisio secundum illas.…’
14 Kepler, J., Ad Vitellionem Paralipomena, etc., Frankfurt, 1604, p. 170.Google Scholar
15 Ibid., p. 174.
16 Descartes, , La Dioptrique, 1637Google Scholar, De l'Oeil, Discours V,‘… le principal (défaut) est que, quelques figures que puissent avoir les parties de l'oeil, il est impossible qu'elles facent que les rayons qui viennent de divers points, s'assemblent tous en autant d'autres divers points, et que tout le mieux qu'elles puissent faire, c'est seulement que tous ceux qui viennent de quelque point, comme d' X, s'assemblent en un autre point, comme S, dans le milieu du fond de l'oeil; en quel cas il n'y en peut avoir que quelques uns de ceux du point V, qui s'assemblent justement au point R … et les autres s'en doivent escarter quelque peu, tout a l'entour.’
‘… comme il a esté assés remarqué par ceux qui ont escrit de l'Optique. Car c'est pour cela qu'ils ont dit que la vision se fait principalement suivant la ligne droite, qui passe par les centres de l'humeur cristaline et de la prunelle … qu'ils nomment l'aissieu de la vision.’
17 Ibid., Discours III, ‘le neuf nommé optique est composé d'un grand nombre de petits filets, dont les extrémités s'estendent en tout l'espace où elles composent une espece de chair extrêmement tendre et delicate, laquelle est comme une troisième peau …’ (abridged).
18 See St Albert (ed. Borgnet, v. 473b), ‘Dicuntur autem istae quatuor qualitates primae, quia non fiuunt ab aliis, sed omnes aliae qualitates siue contrarietates proueniunt ex ipsis.… Secundariae autem sunt quae causantur ab istis, scilicet … album et nigrum et similia.’ St Thomas also refers to ‘qualitates primae’ in this sense.
19 Descartes, , op. cit.Google Scholar, Discours V, ‘Et que, la lumière n'estant autre chose qu'un mouvement, ou une action qui tend a causer quelque mouvement, ceux de ses rayons qui viennent d'V vers R, ont la force de mouvoir tout le filet R7, et par consequent l'endroit du cerveau marqué 7; et ceux qui viennent d'X vers S, de mouvoir tout le neuf S8, et mesme de le mouvoir d'autre façon que n'est meu R7, a cause que les objets X et V sont de deux diverse couleurs.’
30 Ibid., Discours VI, ‘… il faut remarquer que les bouts des filets du nerf optique qui le (le fond) couvrent, encores que tres petits, ont neantmoins quelque grosseur; en forte que chacun d'eus peut estre touché en l'une de ses parties par un objet, et en d'autres par d'autres; et que n'estant toutesfois capable d'estre meu que d'une seule façon a chaque fois, lors que la moindre de ses parties est touchée par quelqu’ objet fort esclatant, et les autres par d'autres qui sont moins, il suit tout entier le mouvement de celuy qui est le plus esclatant, et en represente l'image, sans representer celle des autres.’
21 Loc. cit.
22 Thus see Pecquet, , Réponse de M. Pequet à la Lettre de M. l'Abbé Mariotte, Nouvelle Découverte touchant la VeueGoogle Scholar, Extrait d'une Lettre de M. l'Abbé Mariotte à Pecquet, M., p. 7.Google Scholar
23 See An Appendix to the second edition of Berkeley, 's New Theory of VisionGoogle Scholar in which there are lengthy quotations. See also Philosophical Commentaries (A. A. Luce, London: 1944), pp. 89, 138, 149, 161, 277, 279, 281, 283, 285, 289, 291 and 301.Google Scholar
24 ‘M New Theory of Vision’, Communicated to the Royal Society by W.B., M.D., in Philosophical Collections, No. 6, pp. 167–172.Google Scholar
25 ‘A Continuation of a Discourse about Vision, with an Examination of some late Objections against it’, by William Briggs, M.D., and Fellow of the Royal College of Physicians, Philosophical Transactions, vol. XIV, 1684, pp. 172–180.Google Scholar
26 Guillielmi Briggs, Med. Doct., Londin., Nova Visionis Theoria. See Epistola D. Isaaci Newtoni: ‘Et quamuis aliam horum sensuum analogiam suspicari possim, ingeniosam tamen esse quam tute excogitasti, certe nemo non lubenter fatebitur.’
27 For instance, those described by Luce, A. A. in his Berkeley and Malebranche.Google Scholar
28 NTV., sect. 46.
29 NTV., sect. 88.
30 Warnock, G. J., Berkeley, 1953, p. 28ff.Google Scholar
31 Descartes, , La Dioptrique, Discours VI.Google Scholar
32 Molyneux, William, Dioptrica Nova, A Treatise of Dioptricks, 1690, p. 105ff.Google Scholar
33 Berkeley, , NTV., sect. 96.Google Scholar
34 Ibid., sect., 95.
35 Ibid., sect. 56.
36 Kepler, J., Ad Vitellionem Paralipomena, Frankfurt, 1604, p. 174Google Scholar, ‘… obliqua uisio… solum inuitat ad detorquendos illuc oculos, ut directe uideatur.…’
37 NTV., sect. 98.
38 Armstrong, D. M., Berkeley's Theory of Vision, p. 51.Google Scholar
39 Turbayne, C. M., ‘Berkeley and Malebranche on Retinal Images’, Journal of the History of Ideas, 06, 1955, p. 353f.Google Scholar