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Published online by Cambridge University Press: 20 February 2017
C'est à l'ingénieuse patience d'un ami désintéressé que je dois de pouvoir présenter ici une transcription complète de ces fragments; les notes aussi, dans l'ensemble, lui appartiennent.
Le premier morceau (A), quatre feuillets numérotés 26–29, met en scène les Bouddhas de tout le cosmos, avec leurs Bodhisattvas et leurs Śrāvakas. Ces saints personnages vont se rendre dans notre univers (Sahā) où Śākyamuni leur révélera la dhāraṇī Dharmahṛdayasamucchrayavidhvaṁsaṇī. “Ne craignez pas de ne pas trouver place dans la Sahā”, expliquent les Bouddhas à leurs auditeurs, “car Sākyamuni possēde le pouvoir de faire tenir sur un grain de poussière tout l'élément ‘terre’ de tous les univers”, etc. Nous ne sommes pas, que je sache, renseignés ailleurs sur ce pouvoir magique de praveśa.
page 45 note 1 On attend une forme du passé: ‘ont dit’, correspondant à adhiṣṭhita, anumodita. [L. V. P.]Google Scholar
page 46 note 1 ~ est un trait indiquant que, sur la ligne, auoun caraotère ne précède ou ne suit.Google Scholar
page 46 note 2 ī me paraît assuré par les traces visible.Google Scholar
page 46 note 3 Lire svayam. [Peut-être: yā evam bahu° ?—L. V. P. ]Google Scholar
page 47 note 1 I.e. anyo°.
page 47 note 2 Écrit rya.
page 48 note 1 Ici un trait d'union, la courbure du bord supprimant la place d'écrire.
page 48 note 2 I.e. eko°.
page 48 note 3 Ici un trait d'union, même raison que supra.
page 48 note 4 MS. semble porter draṣṭuṇaṃta ou draṣṭuṇta.
page 49 note 1 Erreur de scribe, comme plusieurs autres.Google Scholar
page 49 note 2 Même errevir que ci-dessus à pratiḥ.Google Scholar
page 49 note 3 Écrit st.Google Scholar
page 50 note 1 Ci-dessous 29 v°, 2, svaviṣayavat.Google Scholar
page 50 note 2 Ou° ta.Google Scholar
page 51 note 1 Peut-être, pour rétablir le mètre, pourrait-on supposer que le texte primitif portait un génitif en āna (admis en Sanskrit buddhique) dont la dernière voyelle formait samdhi avec la premiére de indro; ainsi devānendro.Google Scholar
page 51 note 2 Supplèer vāso?Google Scholar
page 51 note 3 Ou labhāma tha? En tout cas la curieuse forme d'une 1re personne du pluriel en matha paraît exister. Je serais porté, pour ma part, à admettre qu'elle doit son origine à un saṃdhi, à la façon du pāliprākrit, entre –ma et atha.Google Scholar
page 51 note 4 Deux akṣaras manquent. Leur omission et la lacune qui suit se eompliquent pour me rendre trop hasardeuse une restitution.Google Scholar
page 52 note 1 Suppléer °ddhebhi bhāṣitam?Google Scholar
page 52 note 2 M. E. J. Rapson a proposé la distribution des pādas qui avait paru mal assurée. [L. V. P.]Google Scholar
page 52 note 3 Le k n'est pas sûr. L'm dans śatam est irrégulièrement formé, mais est entièrement probable.Google Scholar
page 52 note 4 saṃpracakrame, semble-t-il.Google Scholar
page 52 note 5 Une partie du caractére manque, mais va me semble certain, contre l'hypothèse d'un ca ou d'un ta. On peut conjecturer qu'il y avait là un composé terminé en bhava ou bhāva.Google Scholar
page 52 note 6 Cf. Grimblot, Sept Suttas Palis, p. 324: kusalena samikkhasi: amanussā 'pị taṁ vadanti. [L. V. P.]Google Scholar
page 53 note 1 Il me semble à propos de supposer là —comme dans les pādas impairs qui précédent, tvayā pourrait aller.Google Scholar
2 Si on mesure samănvāhara, on obtient un pāda.—[Même remarque que ci-dessus, B 1a note 2, p. 52.]Google Scholar
3 rūpā au moins très-probable.Google Scholar
4 4 °gā°, sic. Lire °galā.Google Scholar