No CrossRef data available.
Published online by Cambridge University Press: 15 March 2011
The following letter, addressed to me by M. Henry Sauvaire, late of the French Consulate at Alexandria, at present Secrétaire-Interprète, Chargé du Vice-Consulat de France à Casablanca, Rabat et Mazagan (Maroc), appeared to me to be of so interesting and curious a nature that I requested the writer to permit me to offer it, together with the accompanying translation, for publication to the Royal Asiatic Society. The subject is at present very obscure, and the light thrown upon it by M. Sauvaire's researches, soon I hope to be more fully set forth in the work he is now preparing for the press, will be cordially welcomed by Orientalists.
page 292 note 1 [In two subsequent letters, of Jan. 9th and Feb. 16th, 1877, M. Sauvaire sent me his translation of the remaining chapters and fragments of chapters.—S.L.P.]
page 294 note 1 Le texte porte ; peut-être faudrait-il supprimer le et lire “les Chaldéens.”
page 294 note 2
page 294 note 3 Le MS. de Paris écrit toujours ce mot par un sîn; on rencontre la même orthographe dans le Madjma' el anheur, commentaire du Moultaqa el abheur, ed. de Constantinople, année 1276, p. et , Le traité d'El Djabarty sur les balances porte et avec un sâd.
page 294 note 4
page 295 note 1 Cependant d'après l'énumération faite par l'auteur nous trouvons seize étalons différents. On verra un peu plus bas, ainsi qu'à propos des derhams, que l'étalon du tiers n'est plus mentionné.
page 295 note 2 Le texte a omis cet étalon. On remarquera qu'il n'est plus question ici du tiers de metqâl.
page 295 note 3 Le derham se divise donc en douze qîrâts. Cependant El Djabarty donne seize qîrâts au derham.
page 295 note 4 Ce qui fait six dâneqs pour le derham.
page 296 note 1 C'est-à-dire, du pays de Boûm ou Asie-Mineure. Peut-être faut il entendre, dans un sens plus général encore, le ratl en usage chez les Grecs (Byzantins).
page 296 note 2 “Le demi-septième” est evidemment une addition du copiste. El Djabarty nous fournit un tableau comparatif, malheureusement incomplet, du nombre de derhams dont se composaient les ratls de différents pays ou localités. D'après ce tableau, le rati islamboûly (de Constantinople) et roûmy est égal à 176 derhams. On trouve à la Bibliothèque nationale un manuscrit (supplém. ar. No. 1912) désigné sous le nom de Guide du Kâteb et intitulé “”. Ce MS. contient au fo. 129r., sous le titre de Chapitre de la mention des poids, une liste de différents ratls avec leur évaluation en derhams; on la trouvera, en note A, à la fin du présent chapitre avec lequel on pourra la comparer.
page 296 note 3 El Djabarty parle de deux ratls de Baghdâd: l'un, d'après la correction ou approbation [tashîh) d'Abou-Ishâq, se compose de 1200! derhams; l'autre, suivant le tashîh d'En-Nawawy, n'est pas accompagné de son chiffre. Le Guide du Kâteb fait ce ratl de 130 derhams (vois note A à la fin du chapitre); toutefois on lit dans ce MS.fo. 10v. et 11r.: “Remarque. Le ratl de Baghdâd, suivant ce qu'a mentionné l'imâm Er-Râfé'y [mort vers l'a. 623] est de cent trente derhams. Suivant l'opinion préférée par le Cheikh Mouhy-ed-dyn En-Nawawy [+ a. 676], il se compose de cent vingt-huit derhams et quatre septièmes de derham: c'est sur ce chiffre que se basent les fetwas.” Le commentateur déjà cité d'El Moullaqa, p. , lui donne cent trente derhams; ce qui fait, dit-il, vingt estâr.
page 296 note 4 Le tableau d'El Djabarty porte 127; mais peut-être la différence ne provient-elle que d'une erreur de copiste.
page 296 note 5 Serait-ce un ratl institué par les Tâhérîdes ? El Djabarty écrit Dâhéry, avec un . Il existait une ville du nom d Et-Tâhériyah sur la frontière du Khawârezm à peu de distance d'Amol. El Djabarty nous apprend que le ratl Dâhéry était de 480 derhams. Or si l'on multiplie 336 metqâls par 1, on a exactement 480 derhams. Les deux noms, quoique écrits diversement, se rapportent donc à une même livre. Une erreur de copiste, une mouche même, peuvent si facilement transformer un en que je suis très-porté à considérer Tàhéry comme la vraie leçon.
page 297 note 1 210 × 1 = 300 derhams. Le tableau d'El Djabarty nous offre un ratl composé de 300 derhams. C'est celui qu'il appelle Samanoury et Samandary (de Samanour et de Samandar). Je trouve dans la cosmographie de Demechqy, traduite par Mr. Mehren, une ville nommée Semender et appartenant au pays des Khozars, sur les bords de la mer Caspienne.
page 297 note 2 Arzény est évidemment l'adjectif relatif d'Arzen er-roûm (Erzeroûm), ou d'Arzendjân. Quant à Djazary, qu'El Djabarty écrit Djazîry, il est formé d'El Djazîrah (la Mésopotamie).
page 297 note 3 El Djabarty accompagne le ratl Djazîry du chiffre 162, presque égal à la moitié de celui que nous donne en toutes lettres le Métropolitain de Nésibe; en effet 220 × 1= 314
page 297 note 4 C'est-à-dire, sans doute, de Balad, ville située sur la rive occidentale du Tigre, dans le Diâr-Rabî'ah ou deuxième partie de la province d'El Djazîrah dont la première était Mossoul.—Cf. Mehren, , loc. cit. p. 259 et suiv.Google Scholar
page 297 note 5 Ce mot que notre auteur écrit se rencontre le plus généralement sous la forme (mann); pour le pluriel on trouve et . C'est la mine des anciens. Comp. M. Vazquez Queipo, Système métrique, etc. El Djabarty et le Commentateur du Moultaqa, aussi bien que le Guide du Kâteb et autres, font le mann ou mannû égal à deux ratls de Baghdâd.
page 297 note 6 . On pourrait également traduire par “le ratl du lait,” mais cette dernière interprétation est peu admissible.
page 297 note 7 II s'agit sans doute de ratls de Baghdâd.
page 297 note 8 Djabarty l'appelle “Syrien, Tripolitain et Damascain;” il lui donne également 600 derhams; sauf à l'égard du ratl mesry, auquel cas il ne compte plus que 592½ derhams.
page 297 note 9 Djabarty lui en donne 720; c'est le chiffre actuel.
page 297 note 10 C'est ce qu'Abot de Bazinghem appelle gérouin. Le Guide du Kâteb nous apprend (fo. 175c.) qu'en l'année 588 de l'hégire, sous le règne d'El Malek en-Nâser Salâh-ed-dyn (Yousuf), le gouvernement achetait l'alun des Arabes au poids Layty et le revendait au poids Djarouy.
page 297 note 11 Ce nombre est conforme à celui fourni par Djabarty.
page 298 note 1 Conforme à Djabarty.
page 298 note 2 Ce ratl n'est pas mentionné par Djabarty.
page 298 note 3 Djabarty n'en fait pas mention. Si l'orthographe n'est pas fautive, ce ratl serait, comme son nom l'indique, celui en usage pour le pesage de la soie.
page 298 note 4 Conforme à Djabarty.
page 298 note 5 Djabarty l'appelle Maymoûny [de Maymoûnah].
page 298 note 6 Conforme à Djabarty.
page 298 note 7 On trouve dans le tableau fourni par Djabarty, un ratl de 150 derhams; mais cet auteur l'appelle Qonawy (de Qonyeh = Iconium). Peut-être est-ce une erreur de copiste pour Qalyoûby.
page 298 note 8 voir la note ci-devant (3) page 296.
page 298 note 9 Conforme à Djabarty que ajoute “et l'Adjloûny.”
page 298 note 10 Voir la note ci-devant (1) page 296.
page 298 note 11 Conforme à Djabarty.
page 298 note 12 Conforme à Djabarty, qui ajoute, comme se composant également de 800 derhams, les ratls de Naplouse, d'‘Âtek? et de Ba'albakk.
page 298 note 13 Conforme à Djabarty.
page 298 note 14 Le signe copte est = 30; mais j'avoue ne pas comprendre ce qu'il vient faire ici.
page 298 note 15 Le texte porte .
page 298 note 16 Privé des ouvrages nécessaires, je n'ai pu faire aucune recherche sur les mots Djarouy, Layty, ‘Alây, Moumény, Maymouny, Falafy et Âtek. Toutes les autres localités sont connues.
page 299 note 1 On sait que le qentâr se compose de 100 ratls.
page 299 note 2 On s'attendait à trouver ici les problèmes posés en qentârs.
page 299 note 3 Exactement 43. Djabarty donne 43r. 7°. 17d. 3q.; ce qui est exact, sauf les 3 qîrâts qui, d'après mes calculs, devraient être 6.
page 300 note 1 Voy. Ebn Baytar, i. 478.
page 300 note 2 “La liqueur sucrée que se trouve dans les nœuds et racines de la canne à sucre indienne.”—M. Behrnauer, Journ. Asiat. 1860, et Ebn Baytar, ii–149 s.
page 300 note 3 Kohl.
page 300 note 4 Toutyâ.
page 300 note 5 Le chapitre IV. se trouve interrompu, et le manuscrit continue avec la seconde partie du chapitre XI. qui, ainsi que les suivants, traite des balances et spécialement de la romaine, appelée (qarastoûn) par l'Archevêque de Nésibe.
page 301 note 1 Litt, “porté” ().
page 301 note 2 C'est ce que nous appelions le couteau.
page 301 note 3 .
page 301 note 4 , pluriel de . C'est proprement la romaine , ainsi que nous l'apprend El Djabarty.
page 301 note 5 Sur ce que les Arabes appellent le cou () de la romaine, voir El Djabarty.
page 302 note 1 . Litt. “plus visible” ou “plus espacée.” C'est-à-dire que le petit bâb permet d'apprécier de moindres fractions de poids.
page 302 note 2 Cette expression correspond à celle de wadjh () employée par El Djabarty. C'est ce que nous désignons en français sous le nom de grand poids et petit poids, par abréviation de: côté du grand poids, côté du petit poids.
page 303 note 1 Je lis , comme ci-après, au lieu de que porte le manuscrit.
page 303 note 2 Je n'hésite pas à lire , bien que le texte porte (marque).
page 304 note 1 Le texte porte: “Ce qui sortira de deux divisions (ou partages).” Il faut évidemment lire .
page 304 note 2 est écrit ici avec un tachdîd.
page 304 note 3 Le manuscrit est interrompu par un d'ane d'une demi-page, suivie d'un feuillet coupé par moitié dans le sens de la hauteur.
page 304 note 4 Litt, “pèse.”
page 305 note 1 Le ratl de Baghdâd se composant de 90 metqâls, nous avons 90+90+30 =210, ce qui est le nombre de metqâls contenu dans le ratl de Nésibe.
page 305 note 2 Le texte porte: ; mais il est évident qu'il faut lire: .
page 305 note 3 Litt, “différant de quantités.”
page 306 note 1 Litt. “Des quantités (maqûdír) variant de poids.”
page 307 note 1 L'égalité n'est pas nécessaire. Le premier poids venu peut servir à faire trouver la différence.
page 307 note 2 C'est-à-dire, paraît trop fort ou, en d'autres termes, l'emporte sur la roummânah.
page 307 note 3 C'est-à-dire, qui suffise pour rétablir l'équilibre.
page 308 note 1 Le texte porte par erreur ratl. L'auteur nous apprend au Chapitre III. que le ratl de Baghdad compte 90 metqâls; 90 × 2 = 180.
page 309 note 1 Litt. “De l'écriture.”
page 309 note 2 Taqsîm wa takdîd.
page 311 note 1 , pluriel de . Tel est évidemment le sens de ce mot, qui ne se trouve pas dans le Dictionnaire de M. Kazimirski.
page 311 note 2 C'est-à-dire, de derhams au change ou taux de l'or donné.
page 311 note 3 C'est-à-dire de ces derhams (monnaie courante), en derhams (poids), ou soit en derhams légaux.
page 311 note 4 Ce mot a généralement le sens de poids étalon; quelquefois cependant il désigne, comme le mot , le contre-poids d'une romaine, ainsi qu'on le voit dans le traité d'El Djabarty, sur les balances.
page 312 note 1 .
page 312 note 2 Bien que le MS. porte , il est évident qu'il faut lire .
page 312 note 3 (sic) .
page 312 note 4 Le MS. porte ici (le coût, le prix), au lien de (le montant).
page 312 note 5 .
page 312 note 6 . Au lieu , il faudrait lire (taux, cours, change), et traduire “Le taux de l'or est-il supérieur à vingt derhams, etc.”; ou bien entendre par cette expression, que le poids de l'or correspond à ce taux; les musulmans recevaient en effet leur monnaie au poids et non an compte, sauf pour des quantités inférieures â une once (), Cf. Le Commentaire de Raydâwy, sur xii. v. 20.
page 312 note 7 C'est-à-dire répète l'opératlon deux fois; ce qui donnera vingt derhams.
page 313 note 1 .
page 313 note 2 C'est-à-dire le saint archevêque.