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Published online by Cambridge University Press: 27 November 2014
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9 Lucien Leuwen chap. LVI. Inutile de dire que la phrase, dans son contexte, n’a pas exactement le même sens que celui que lui prêtent nos auteurs germaniques.
10 Wallace-Hadrill, A., Rome’s cultural revolution (Cambridge 2008) p. 144–210 Google Scholar. Sur cette vaste question, on pourra consulter maintenant d'Alessio, A. et Rocca, E. La, Tradizione e innovazione. L'elaborazione del linguaggio ellenistico nell’architettura romana e italica di età tardo-repubblicana (Rome 2011)Google Scholar.
11 On notera toutefois que la ratio decoris (7.5.4) n’est autre que la “conformité au principe de convenance” et que son champ d’application, défini depuis 1.2.5, est très large. En ce qui concerne la frise dorique, la “convenance” pour Vitruve tient au respect des formes et des normes définies par l’entablement de bois initial (4.2.2) plus ou moins arbitrairement reconstitué pour les besoins d’une démonstration dont on a depuis longtemps mis en doute la pertinence historique. Il est curieux que l’auteur n’y fasse aucune référence précise, se cantonnant dans des observations générales. Quoi qu’il en soit, cette ratio a en définitive peu d’incidences directes sur les diverses catégories de frises doriques observables en Italie, pour la plupart du reste (du moins dans l’échantillon qui est examiné ici) antérieures à la publication du De architectura.
12 Par exemple, le sous-groupe 1C n’est attesté que par deux fragments.
13 Manasse, G. Cavalieri, “I fregi metopali dei monumenti funerari veronesi nel panorama della decorazione architettonica veronese in età romana,” dans Atti del Convegno sul territorio veronese in età romana (Verona 1973) p. 290 seq.Google Scholar Voir aussi, de la même savante, La decorazione architettonica romana di Aquileia, Trieste, Pola (Padova 1978) p. 94-100 et p. 150–156 Google Scholar. La monographie déjà ancienne Napp, de A., Bukranion und Girlande (Heidelberg 1930)Google Scholar reste utile.
14 Gros, P., L’architecture romaine 2: Maisons, palais, villas et tombeaux (2eme édit, Paris 2006) p. 396 Google Scholar.
15 Voir supra, n.2 et 3.
16 Torelli, M., Paestum romana (Rome 1999) p. 64–68 Google Scholar. Voir aussi maintenant Coarelli, F., L’art romain des origines au IIIème siècle av. J.-C. (Paris 2011) p. 111 Google Scholar.