A qui a connu l'accueil de la Croix-Rouge espagnole, douze mois écoulés ne suffiraient pas pour le laisser oublier. Voilà une année que j'ai joui de ce privilège, et ces heures, cordiales et instructives, s'éveillaient l'une aprés l'autre dans ma mémoire, avec leur décor, le détail des lieux, les physionomies et les voix amicales des personnes, tandis que je feuilletais le bel album que 1'Assemble suprême de la Croix-Rouge espagnole a publié sur le Real Dispensario Victoria Eugenia, à Madrid.