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Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
page 42 note 1 Voir Revue internationale, juillet 1936, pp. 537–542.Google Scholar
page 42 note 2 Cf. Commission internationale d'experts, IIe session 1929, Genève, pp. 53–60.
page 42 note 3 Voir Revue internationale, juin 1939, pp. 482–483.Google Scholar
page 45 note 1 L'eau contaminée ne peut être utilisée ni pour la boisson, ni pour les ablutions sans épuration préalable. Si l'eau a un fort courant, elle s'épure peu a peu; il n'en est pas de même des eaux stagnantes.
L'épuration de l'eau souillée d'arsines (lewisite) par simple ébullition est impossible.
L'eau ypéritée, inoffensive après une ébullition prolongée durant au moins 60 minutes, reste écoeurante et pratiquement imbuvable. Certains charbons actifs peuvent être utilisés pour assurer la potabilité de l'eau ypéritée. Mais, en aucun cas, il ne saurait être question d'utiliser à cet effet la cartouche d'un masque filtrant.
La question de l'épuration des eaux souiliées par les arsines n'est pas encore résolue.
Notons enfin que les procédés d'épuration bactériologiques (javellisation, ozonisation, permanganates, etc.) n'ont donné que des résultats insuffisants.
page 47 note 1 Les matériaux destinés à la protection individuelle (enveloppes rigides ou souples) ne seront considérés comme efficaces qu'après examen et agréement des services techniques.
page 47 note 2 Voir note précédente.
page 49 note 1 Voir Bevue Internationale, Janvier 1939, pp. 38–41.Google Scholar