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Published online by Cambridge University Press: 19 April 2010
Au début de l'année 1923, il s'était écoulé quatre années entières depuis que la guerre était virtuellement terminée, c'est à dire depuis la cessation des hostilités (ce qu'il ne faut pas confondre avec l'établissement de la paix!)
Un nombre considérable de sociétés ou institutions s'étaient créées pendant la guerre pour en secourir les victimes, non pas seulement les blessés, malades et mutilés, mais également les veuves, les orphelins, les réfugiés de tout ordre et de toute nationality.
page 80 note 1 Nous ne visons, par ce terme trop compréhensif, que les gran-des Croix-Rouges dont le type est celle des Dominions, et non pas naturellement les sections qui, dans telle colonie de moindre importance ou de plus étroite dépendance avec la mère patrie, ne se différencient des sections ou comités locaux sur territoire national que parce qu'elles sont sur un autre continent.
page 81 note 1 C'est donc une erreur du général Champain quand celui-ci a déclaré le 21 Janvier 1924, à Paris, lors de la réunion de la Commission d'étude pour l'organisation internationale, que la Croix-Rouge britannique n'avait pas encore pris position.
Page 81 note 2 Il s'agissait exclusivement du droit de vote pour les Conférences, et non point, comme on l'a dit à tort, de la question de la reconnaissance des sociétés des Dominions, laquelle n'était pas du res-sort de la Conférence.
page 86 note 1 Voy, les accords concernant les samaritains et les gardes-malades dans le Bulletin international, t. LIV, 1923, p. 77.Google Scholar
page 87 note 1 Voy, Revue, no de décembre 1919, p. 1440.Google Scholar
page 88 note 1 Il faudrait aussi mentionner ici l'association d'Assistance publique d'Egypte dont parle plus bas notre chronique, et qui, maintenant que le Croissant-Rouge est établi en Egypte, ne man-quera pas de nouer certaines relations avec lui.