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page 168 note 1 Voir cependant, dans le Rapport général, la rubrique : « Prisonniers auxquels le bénéfice de la Convention a été contesté ».
page 169 note 1 Lorsque ce délégué était un membre du CICR, il prenait contact avec des membres du Gouvernement ou de l'Etat-major de l'armée d'occupation, voire avec des chefs d'Etat.
page 171 note 1 Outre les visites régulières des représentants de la Puissance protectrice et des délégués du CICR, les prisonniers recurent la visite de délégués du Saint-Siège, de l'Alliance universelle des Unions chrétiennes de jeunes gens (YMCA) et d'autres institutions spécialisées dans l'aide spirituelle ou intellectuelle aux prisonniers de guerre et avec lesquelles le CICR se tint en contact.
page 171 note 2 La correspondance que les prisonniers remettaient au déléué était, bien entendu, soumise par lui à la censure du camp.
page 172 note 1 La même remarque peut s'appliquer aux visites effectuées par les représentants des Puissances protectrices. Les rapports établis par ceux-ci pouvaient en outre être utilement confrontés par la Puissance d'origine avec ceux du CICR.
page 173 note 1 Le chef de camp, prisonnier lui-même, était chargé de certaines tâches de discipline interne. Dans les camps d'officiers c'était le « doyen », le plus ancien parmi les omciers du grade le plus élevé.
page 173 note 2 Cf. Convention de Genève du 27Juillet 1929, relative au traitement des prisonniers de guerre.
page 178 note 1 Le CICR publiait régulièrement, à titre d'information, des extraits de rapports de visites dans la Revue internationale de la Croix-Rouge. La publication de ces textes, qui paraissaient à raison de quatre ou cinq par mois, alors que la moyenne mensuelle du nombre des visites au cours de la guerre a dépassé la centaine, n'était destinée qu'à donner une idée générale de la situation des prisonniers dans le monde et de l'activité des délégués du CICR en leur faveur.
page 182 note 1 La cession de prisonniers, par une Puissance à une autre Puissance, n'a pas été prévue par la Convention. Cependant les belligérants admirent que la Puissance qui avait fait des prisonniers gardait, avec la nouvelle Puissance détentrice, une responslabilité conjointe quant à leur traitement et cela jusqu'à leur libération définitive.
page 183 note 1 Le Gouvernement de Vichy constitua une mission permanente destinée à visiter les camps de prisonniers francais, dite « mission Scapini ». L'action de cette mission ne peut être comparée à celle du CICR qui est caractérisée par sa neutralité.
page 185 note 1 Le CICR a apporté toute son attention au problème des camps de « transit » dans les projets qu'il a préparés en vue de la revision de la Convention de 1929.