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Liberman et le socialisme russe

Published online by Cambridge University Press:  18 December 2008

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Aaron Liberman was the first to try to create a socialist movement among the Jews in the seventies of the 19th century. In the history of the social movements he is rightly considered to be the founder of Jewish Socialism. Liberman's views and methods were strongly influenced by Russian Socialism, particularly through Peter Lavrov and his followers, who grouped themselves round the Vperiod (Forewords), the organ edited by Lavrov. Drawing on the archives of the former secretary, later on editor of the Vperiod, Valerian Smirnov, which archives are in the possession of the International Institute for Social History, the author investigates into the main period of Liberman's life, from the beginning of his emigration until his death.

The article comprises the following chapters: I. In Russia; II. First Stay in London (1. Growing sympathy with the Vperiod; 2. The Vperiod and Jewish Socialism; 3. The Jewish Socialist Society in London); III. The tiaemes and the Jewish socialist section in Berlin; IV. Tragic End.

The author endeavours to determine Liberman's contribution to the Vperiod and other European socialist organs, and deals with the role he played in the working-out of the rules and constitution of the Social Revolutionist Union of the Jews in Russia, and in the foundation of the Jewish Socialist Society in London, 1876. He comes to the conclusion that Lavrov played as prominent a part in the working-out of the rules and constitution as Liberman, and that the London Jewish Socialist Society is greatly indebted to Smirnov. The author further deals with Liberman's stay in Vienna, where he edited his organ Haemes, and with the so-called Nihilist-trial in Berlin, 1879. Finally he sketches Liberman's return to London in the beginning of 1880 and discusses the circumstances which ultimately led to Liberman's suicide.

An appendix contains eight letters from Liberman to Smirnov and five from Smirnov and others, bearing upon Liberman. The three most important letters from Liberman to Smirnov are cited in a French translation as well as in their Russian original.

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Articles
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Copyright © Internationaal Instituut voor Sociale Geschiedenis 1938

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References

page 25 note 1) Voir, Tsinberg, Pervye sotsialistitcheskie organy na evreiskom ïazyke. Perejitoe. Pétersbourg 1908, p. 235.Google Scholar et Tscherikower, Der oncheïb fun der yiddicher sotsialisticher bavegoung. Historiche, ChriftnVarsovie, T. I. 1929, p. 491, 492 et 511.Google Scholar

page 25 note 2) Sur, Smirnov, voir plus bas p. 27, 32Google Scholar et aussi le Bulletin of the International Institute for Social History, N. 2. Amsterdam, 1937, p. 98102.Google Scholar

page 25 note 3) Outre les matériaux tirés des archives de Smirnov et qui ont servi de base au présent travail, l'auteur a pu mettre à profit les parties des archives de la rédaction de Vpériod conservées à la section de Paris de l'lnstitut d'Histoire sociale, chez B. Nicolayewsky qui mit également à sa disposition les copies des actes judiciaires du procès dit des nihilistes de Berlin 1879, ainsi que sa vaste bibliothèque; l'auteur lui en exprime ici sa vive reconnaissance.

page 26 note 1) Grégoire, Gourévitch, camarade de Liberman, accusé avec lui au procès de Berlin, dans l'article intitulé Le premier procès des „, nihilistes” à Berlin, publié par la revue Byloé (Pétersbourg, 09 1907), précise que Liberman naquit à Suwalki. Les données que nous possèdons ne íe confirment pas. La famille de Liberman habita Suwalki après sa fuite à l'étranger.Google Scholar

page 26 note 2) Sur Vpériod, voir plus bas, p. 27, 28.Google Scholar

page 26 note 3) Cf, , Vpériod, no. 16, 1875, p. 506.Google Scholar

page 26 note 4) Les publications d'histoire considèrent depuis longtemps l'école rabbinique de Vilna comme ayant été un centre de diffusion des idées socialistes parmi les Juifs (Erz — Die Entwicklung des sozialistischen Gedankes in der hebraischen Presse Osteuropas. Jahrbuch für Sozialwissenschaft und Sozialpolitik, , Zürich, 1881, p. 356).Google Scholar Nous ne nous occupons dans la présente étude que du cercle de Vilna formé en grande partie d'ex-élegrave;ves de cefte école. Sur ce cercle, voir Boukhbinder, Iz istorii revolutsionnoï propagandy sredi evreev v Rossii v 70-ch gg. Istoriko-Revolutsionnyï Sbornik pod red Nevskogo, V., Leningrad, T. I. 1924, p. 37 et suiv.Google Scholar

page 27 note 1) Sur, Finkelstein, voir p. 30 et la note 3 à la p. 28.Google Scholar

page 27 note 2) Voir Iokhelson, Dalekoe prochloe. Byloe, N. 13. Leningrad, 1918, p. 55. Anna Epstein mourut en 1895 à Vienne.Google Scholar

page 27 note 3) Cf., Iokhelson, p. 55.Google Scholar

page 27 note 4) Cf., Iokhelson, p. 56 et Boukhbinder, , p. 39.Google Scholar

page 27 note 5) Pierre Lavrov (1823—1900), penseur socialiste russe. Ancien colonel et professeur de mathématiques a l'Académie d'Artillerie de Pétersbourg. Exilé en 1866, s'évada avec le concours de Herman Lopatine (voir la note I à la p. 53) en 1870 et se rendit à I'étranger où il devait jouer un rôle dirigeant dans l'émigration révolutionnaire russe.

page 27 note 6) L'organe des bakounistes, le Rabotnik, ne parut qu'en 1875; ce fut surtout un organe d'agitation.

page 28 note 1) Voir, Deutsch, Rol evreev v rousskom revolutsionnom dvijenii, T. I. Berlin 1923, p. 54.Google Scholar

page 28 note 2) II n'est pas possible d'établir exactement la date de l'entrée de Liberman dans le cercle de Vilna. Iokhelson, (p. 57) dit que Liberman devint membre du cercle au début de 1875. Boukhbinder, qui a pu consulter les documents de la police, n'apporte pas de précision.Google Scholar

page 28 note 3) Finkelstein émigra par la suite. En 1875—76 (jusqu'au mois de juin), il vécut à Königsberg, fit des études à la faculté de médecine, s'occupa d'introduire les publications révolutionnaires en Russie et fut un de ceux qui aidaient les groupes illégaux de Russie à garder la liaison avec I'émigration. Les lettres de Finkelstein, datant de cette période, sont conservées dans les archives de Smirnov.

page 28 note 4) Voir documents annexes, 1.

page 29 note 1) La collaboration de Liberman à Vpériod, de Russie, est mentionnée dans un article intitulé Extrait d'archives de la Volkszeitung de Vilna (no 237, 1906).

page 29 note 2) Le portrait tracé par lokhelson exige quelques correctifs. Liberman connaissait 1'allemand, nous en avons de nombreuses preuves. II ne connaissait pas 1'anglais. Dans sa carte à Smirnov, datée de Londres, le 2. V. 1880, il dit: „Je comprends déjà un journal ang[lais]!” Nous ignorons s'il connaissait une autre langue européenne. II écrivait médiocrement le russe et Smirnov devait passer pas mal de temps à rédiger ses articles avant de les publier dans Vpériod.

page 30 note 1) La lettre de Guinsbourg (documents annexes, 1) nous l'indique. Finkelstein le disait aussi dans une de ses lettres à la rédaction de Vpériod.

page 31 note 1) Dans sa lettre à Rosalie Idelson du 22. II. 1876, Smirnov décrit l'une des couvertures dessinées par Liberman. Cette description correspond à la couverture de la brochure de Kravtchinsky, Aventures étonnantes et amusantes des gens du Pochékhoniè, publiée par Vpériod en 1876. On trouve également dans les archives de Smirnov des silhouettes de Marx et de Smirnov dessinées par Liberman.

page 31 note 2) Cette Union était le germe de la Zemlia i Volia, organisation révolutionnaire bien connue.

page 32 note 1) Sur, Linev, voir plus bas, p. 33.Google Scholar

page 32 note 2) Lazare Goldenberg, né dans lé gouvernement de Kherson, émigra en 1872. Dirigea à Généve l'imprimerie du cercle russe des partisans de Tchaikovski. Travailla à partir du 18. I. 1876 à la typographic londonienne de Vpériod. II mourut en 1916 à Londres.

page 33 note 1) Rien ne nous permet d'attribuer à Liberman l'entrefilet qui précéde dans ce numéro de Vpériod le texte de la prédication antisocialiste de la synagogue de Vilna. Le contenu méme de cet entrefilet nous fait douter que Liberman puisse en êetre l'auteur.

page 33 note 2) Cf., Tscherikower, p. 512 et la note 3, même page.Google Scholar

page 34 note 1) Surce, voyage, voir plus bas, p. 44.Google Scholar

page 34 note 2) Cf., Iokhelson, p. 59.Google Scholar

page 34 note 3) Cf. Vpériod, no. 42, 1876, p. 616: Avis aux correspondants.Google Scholar

page 34 note 4) Cf. plus bas, p. 41.Google Scholar

page 34 note 5) Cf., Tscherikower, p. 555.Google Scholar Nous nous sommes arrêtés sur cette question à cause du ton catégorique de Tscherikower qui attribue cet article à Liberman (Cf., p. 479).Google Scholar

page 35 note 1) L'article Die Kulturunfähigkeit der Bourgeoisie, signé par Daniel, paru dans la Freiheit, no 35, à Londres le 28. VIII. 1880, appartient peut-être à Liberman.Google Scholar

page 36 note 1) Cf., Iokhelson, p. 5657Google Scholar et aussi Léo, Deutsch (l'ouvrage cité plus haut) p. 109.Google Scholar

page 36 note 2) Noms de riches Juifs connus.

page 37 note 1) Dans sa lettre du 4. XII. 1875 à Rosalie Idelson, Smirnov relate que Liberman refusa d'aller à une réunion polonaise consacrée à 1'anniversaire de l'insurrection de 1830. „Je suis un Juif, dit-il à Smirnov, et les Polonais n'aiment pas les Juifs.”

page 37 note 2) Cf., Tsinberg, p. 236.Google Scholar

page 38 note 1) Organe libéral modéré, assez répandu paraissant à Pétersbourg.

page 39 note 1) Tscherikower se trompe quand il pense que Liberman, écrivant son manifeste, imitait Lavrov „qui avait publié un an auparavant son manifeste connu à la jeunesse social-révolutionnaire russe.” (cf., Tsch., p. 518).Google Scholar En 1875, Lavrov n'avait écrit aucun manifeste à la jeunesse. Sa brochure qui parut en 1874, A la jeunesse social-révolutionnaire russe (Londres, éditions Vpériod), est consacrée à la polémique avec Tkatchev et ne rappelle l'écrit de Liberman que par le titre.Google Scholar

page 40 note 1) Brochure révolutionnaire très populaire, ceuvre de Varsar.

page 41 note 1) Pour les lettres des militants ukrainiens, cf. Lettres de Mikhail Dragomanov à la rèdaction de la revue social-révolutionnaire russe, Vpériod, éditées en ukrainien par Mikhailo Pavlik, Lvov, 1910.Google Scholar

page 41 note 2) Les correcpondances de Vilna et de Biélstok étaient de la plume de Liberman.

page 41 note 3) C'est-à-dire les socialistes ukrainiens tels que Podolinski, Dragomanov et autres.

page 42 note 1) Cf., Boukhbinder, p. 44 et suivantes.Google Scholar

page 42 note 2) Voir, Rousskaïa podpolnaia i zaroubejnaia petchat, I, 1. Moscou 1935, p. 74Google Scholar N. 325 et Tscherikower, o.c. p. 473, 511.Google Scholar

page 42 note 3) Cf., Boukhbinder, p. 43. Serge Nétchaév, conspirateur politique connu, ne reculait pas devant l'emploi de moyens amoraux pour atteindre des fins révolutionnaires.Google Scholar

page 43 note 1) Lavrov se mit à écrire L'élément ètatique dans la société future au printemps de 1875 et termina son livre à la mi-juin 1876. Nous empruntons ces renseignements à une lettre le Smirnov à Rosalie Idelson, du 19. VI. 1876.

page 43 note 2) Sur la Société socialiste juive de Londres, consulter l'ouvrage de Tscherikower, , cité à la note 1, p. 25.Google Scholar

page 44 note 1) Cf., Tscherikower, p. 514.Google Scholar

page 44 note 2) Liberman partit pour Berlin le 23. V. 1876 et revint à Londres le 18. VI. 1876.

page 45 note 1) Smirnov pensait organiser la vente de Vpériod à Whitechapel, mais le libraire qu'il avait en vue refusa de prendre des exemplaires de la revue à la commission, craignant de se brouiller avec Trubner, qui était le commissionnaire ordinaire de Vpériod.

page 45 note 2) Le procès-verbal dit que „Lavrov, P., rédacteur de la revue social-révolutionnaire russe Vpériod (Forward) et d'autres membres de la rédaction de cet organe”Google Scholar assistèrent au meeting (Tscherikower, , p. 568).Google Scholar

page 46 note 1) Le texte des statuts fut publié dans le no 37 de Vpériod, en 1876, p. 454455.Google Scholar

page 46 note 2) Cf., Iokhelson, p. 57.Google Scholar

page 46 note 3) Lettre de Smirnov à Rosalie Idelson, du 18. XII. 1875.

page 46 note 4) Voir, plus haut, p. 31.Google Scholar

page 47 note 1) La lettre est signée de Goldenberg, Linev et Smirnov, qui formaient de „conseil d'administration” (v. p. 32) et aussi de Soundélévitch et Liberman. Voir documents annexes, no 4.

page 47 note 2) Jan Hlasko était arrivé de Russie, pour voir Wróblewski; il apportait un projet de création d'un organe socialiste polonais.

page 47 note 3) Soundélévitch habita un certain temps à Königsberg sous le nom de Gourévitch, avec le passeport du frère de Grégoire Gourévitch, David.

page 47 note 4) Voir, plus haut, p. 27.Google Scholar

page 47 note 5) C'est à dire les socialistes Juifs d'esprit national.

page 48 note 1) Il ne pouvait pas être question pour Vpériod de financer de ses propres ressources un organe socialiste juif. La revue souffrait d'un manque d'argent chronique et joignait à peine les deux bouts.

page 49 note 1) Cf. l'article Erz, cité à la p. 26, note 4 et l'article de Tsiuberg que nous avons plusieurs fois mentionné.Google Scholar

page 49 note 2) Dans une lettre à Smirnov, du 5. I. 1880 (voir documents annexes, 7), Liberman précise que le procès eut lieux le 11. XI. 1878.

page 50 note 1) Liberman dit dans la mème lettre (voir note 2 à la p. 49) qu'il quitta Vienne le 19. I. 1879.

page 50 note 2) Exerça plus tard la médecine en Amérique. Beau-frère d'Edouard Bernstein

page 50 note 3) Se sépara du mouvement révolutionnaire dans les années quatrevingts, sous l'impression des pogromes. Fut avant la guerre consul du Danemark à Kiev. Mourut en 1926 à Paris.

page 50 note 4) Eduard, Bernstein, Die Geschichte der Berliner Arbeiterbewegung, Zweiter Teil, Berlin 1907, p. 34.Google Scholar

page 51 note 1) La rédaction de Vpériod télégraphia à Most. Voir aux documents annexes no 5 le texte de la lettre de la section berlinoise.

page 51 note 2) Cette photographie figura au procès de Berlin en 1879. Elle a été conservée dans les archives de Smirnov. L'intérét qu'elle présente nous a incité à la reproduire.

page 52 note 1) Cf. le Vorwaerts de Berlin, 1876, no 39, et 1877, no 13. —Google Scholar Au nombre des signataires de la protestation se trouvaient non seulement des membres de la „section juive”, mais aussi des socialistes russes. C'est sans doute par suite de ce conflit que l'organe de la social-démocratie allemande, paraissant à Paris en raison de la législation antisocialiste, Die Laterne, se montra très indifférent à 1'égard du procès de 1879 (ce qui ne l'empêcha pas de protester contre l'intention, manifestée par le gouvernement prussien, delivrer Liberman à la Russie, dans Die Laterne, no 14, du 6. IV. 1879, p. 429)Google Scholar et, répondant au reproche qu'on lui en fit, exprima sur Gourévitch une opinion nettement défavorable (Die Laterne, 1879, no 25, du 22. VI, p. 793).Google Scholar

page 53 note 1) Socialiste russe connu qui fit évader Lavrov de déportation, un des dirigeants de la Narodnaya Volia en Russie au début des années quatre-vingts. Passa de longues années à Schlusselbourg. Fut proche de Vpériod. Décédé en 1919.

page 54 note 1) Voir, plus haut, p. 35.Google Scholar

page 54 note 2) Organe des blanquistes russes auquel collaborait Tkatchev.

page 55 note 1) Voir, plus haut, p. 48.Google Scholar

page 55 note 2) Un exemple caractéristique. De retour de Berlin à Londres, en juin 1876, Liberman rapporta le chapeau d'un ouvrier juif emprisonné à la prison de Dvinsk. Voulant donner à Lavrov qu'il admirait une marque d'estime, cet ouvrier avait écrit sur son chapeau quelques mots destinés à Lavrov. (La Volkszeitung de Vilna, no 237, 1906, relate inexactement cet épisode.) Smirnov le raconte avec le plus grand sérieux à Rosalie Idelson dans sa lettre du 18. VI. 1876. Par la suite, 1'histoire de ce chapeau devint, dans les conversations entre Rosalie Idelson et Smirnov comme le symbole des inventions de Liberman.

page 56 note 1) Lazare, Tsoukerman, collaborates de Liberman à Haemes, travailla à la typographie clandestine de la Narodnaya Volia où il fut arrêté le 17. I. 1880. Il fut jugé à la fin de 1880 et condamné aux travaux forcés. C'est à tort que Liberman le considérait comme ayant péri. Soundélévitch fut arrêté à Pétersbourg en 1879, jugé en même temps que Tsoukerman et condamné à une peine du même ordre.Google Scholar

page 58 note 1) Cf., Iokhelson, p. 5960.Google Scholar

page 59 note 1) Cf. la note 3 à; la p. 28.

page 60 note 1) Texte obscur. L'auteur semble avoir commis un lapsus logique.

page 61 note 1) Soundélévitch entend les membres de l'Union formée sur l'initiative de Natanson. Voir p. 31.

page 62 note 1) Il s'agit de l'Union formée sur l'initiative de Natanson. Voir p. 31.

page 64 note 1) La Vérité c'est Haemes journal publié par Liberman Vienne.

page 65 note 1) Gustave Brocher fut proche de Vpériod à partir de 1876. La revue liquidée, il s'occupa de ses archives.

page 65 note 2) Les époux Leithold habitaient en 1877 l'imreuble où; se trouvait la rédaction de Vpériod. V. Smirnov, en quittant Londres, leur confia les archives de la revue.

page 66 note 1) Ancienne bonne à la rédaction de Vpériod.

page 67 note 1) Vochtchakin et Iantsin – anciens compositeurs-typographes, Rikhter –ancien collaborateur de Vpériod. Sur Guinsbourg voir plus haut p. 27. Ivantchin-Pissarev– révolutionnaire russe, auteur des brochures populaires.

page 68 note 1) Sur le Tchorny Péredel et la Narodnaya Volia, voir p. 56.

page 70 note 2) Allusion à Madame Leithold.

page 70 note 3) Caucasien c'est Tcherkessov.

page 70 note 4) David Saper, émigré de Russie, membre de la Société socialiste juive de Londres en 1876, fut en rélations avec la rédaction de Vpériod.

page 70 note 5) Katzenjammer c'est L. Guinsbourg.

page 70 note 6) Ida Eliacheva avait été à 1'université la condisciple de Rosalie Idelson.

page 71 note 1) Félicie Sheftel, étudiante, envoyée en Sibérie à la suite du procès de la manifestation de la place de Kazan Pétersbourg, 6. XII. 1876), s'échappa et gagna 1'étranger; elle habite la Roumanie.

page 71 note 2) Il s'agit de collaborateurs de la typographie de Vpériod en 1875–76 dont les noms sont demeurés inconnus.

page 72 note 1) Membres dirigeants du groupe du Tchorny Péredel.

page 72 note 2) Nous ne savons pas qui Liberman désigne sous le nom de Katzen.

page 73 note 1) Smirnov se rendit en Russie en 1879 et revint à l'étranger, sur les instances de ses camarades, après l'attentat de Soloviev, an avril de la mème année.

page 73 note 2) Il serait difficile de préciser qui dďentre les militants du Tchorny Péredel vint à Paris au printemps de 1880. I1 est possible que Liberman fasse aIlusion à Plékhanov.

page 74 note 1) Allusion à V. Iokhelson.

page 75 note 1) Que faire?, célèbre roman de Tchernychevski, dont Rakhmétov est l'un des personnages.

page 75 note 2) Allusion à L. Wainer.

page 75 note 3) Allusion à L. Hartman.

page 75 note 4) Soundé1évitch portait le sobriquet dďArcadi. Sur Soundélévitch, voir p. 56, note 1.

page 75 note 5) Liberman se trompait. Loubkine s'était fait sauter la cervelle et non Tsoukerman. Voir p. 56, note 1.

page 76 note 1) Allusion à V. Iokhelson.

page 77 note 1) Voir note 1, p. 75.

page 78 note 1) Revues révolutionnaires.

page 78 note 2) Ci-dessous le lecteur trouvera 1'original russe des lettres les plus importantes de Liberman dont la traduction française se trouve dans les documents annexes NN 7, 12 et 13.