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Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
The paper analyses the extent to which ticks and tick-borne diseases, particularly East Coast Fever (ECF), are an economic problem in Kenya. It qualitatively argues that several socio-economic factors, viz. inadequate information, indivisibility of the main tick control facilities, externalities, and risk make individual farmers undertake less control efforts than is optimal for the society. This fact is used to justify a more active role for the state in tick control efforts. A simple regression model that tests the impact of ECF on the cattle breed portfolio in the country is presented.
Cet article analyse l'effect des tiques et des maladies qui sont portées par les tiques, spécialement la fièvre de la côte orientale, sur l'economie du Kenya. Il donne des arguments qualitatif que plusieur facteurs socio-economiques tels que: une information inadéquate, l'indivisibilité des facilités principales de contrôle des tiques, les facteurs externes ainsi que le risque font que les paysans entreprennent des efforts de contrôle qui s'avèrent insuffisantes pour la société. Ce fait est utilisé pour justifier un rôole plus actif de la part de l'état dans les efforts de contrôle des tiques. Une modèle de regression simple qui teste l'impact de la fièvre de la côte orientale sur le bétail dans le pays est aussi discuté.