Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
The flight phenology of the stem borer, Chilo partellus (Swinhoe) at the ICIPE's Mbita Point Field Station (MPFS) and on a nearby farmer's field was monitored using pheromone traps. The relation between pheromone trap catches of males and sorghum plant age, infestation, larval/pupal population density and sorghum cultivars used was examined. At MPFS C. partellus males were caught throughout the year in pheromone traps. Fluctuations of trap catches indicated that the pest completes two main generations on each of the long and short rain sorghum crops. On farmers' fields, males continued to be caught in large numbers after harvest, implying that the pest continues to breed on the sorghum stalks and tillers. Significantly lower observed catches of males occurred only on one (MB-3) of the eight different sorghum cultivars, during the period of 2–6 weeks after plant emergence. In general, positive correlations were observed between the number of males caught in pheromone traps and larval pupal population density, males and percentage plants infested, and males and plant age. However, the pheromone trap appeared to be less effective under high population density, particularly during the flight of the second generation moths, due to competition between pheromone trap and wild females. But the flight phenology as monitored by pheromone traps appeared to reflect major events in population development of C. partellus. Pheromone traps would be useful in detecting C. partellus and for monitoring its flight phenology.
La quantité saisonnière de Chilo partellus (Swinhoe), insecte dévoreur de tige, a pu être examiné au Centre Expérimental de l'ICIPE de Mbita (Mbita Point Field Station) et dans le plantations environnantes des fermiers grâce à l'usage des trappes au phéromone. D'un côte on a étudié le rapport qu'il ya a entre les insectes mâles capturés dans le trappes au phéromone et l'âge des plantes de sorgho, l'intensité de l'infestation sur les plantes, la densité des larves et des chrisalides; de l'autre côte on a examiné le rapport existant entre le volume des captures de mâles et les variété de sorgho cultivées. Au Centre Experimental de Mbita, les C. partellus mâles étaient pris dans les trappes au phéromone tout au long de l'année. Les variations dans le volume des prises ont révele que l'insecte réalise deux générations complètes durant la récolte de chaque saison plusieuse, tant longue que courte. Dans les plantations des fermiers, les mâles continuaient â se faire attraper en nombre considérablle même après la moisson, ce qui explique que l'insecte continue à se nourrir sur les tiges-même de sorgho. Les quantités des prises de mâles les plus sensiblement réduites avaient été réalisées sur une seule des 8 variétés de sorgho cultivées, le MB-3, durant la période allant de 2 à 6 semaines après la pousse des plantes. En général, on a réussi à établir d'une façon positive des conrélations entre le nombre des mâles capturés grâce au phéromone et la densité des larves et des chrisalides, d'abord, puis entre les mâles capturés et le pourcentage des plantes infestées, et enfin entre les mâles et l'âge des plantes concernées. Cependant, les trappes au phéromone s'étaient révélées moins efficaces face à une plus grande population d'insectes. Cela fut particulièrement remarqué dans le cas de papillons de la 2ème génération où le surnombre des femelles de la brousse défie la capacité de capture d'une trappe au phéromone. De toute façon, la quantité saisonnière, telle qu'elle a été étudiée au moyen des trappes au phéromone, reflète les moments importants dans l'accroissement de la population des C. partellus. En définitive les trappes au phéromone pourraient jouer un rôle important dans la détection du C. partellus d'abord, ensuite dans la détermination de la quantité saisonnière de celui-ci.