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Published online by Cambridge University Press: 19 September 2011
Feeding performances of 3509 male and 4838 female sandflies, Sergentomyia ingrami, fed on 46 native or indigenous and exotic or introduced species belonging to 21 families of plants found in Kenya were examined. The results indicated more feeding on certain families than on others. The most used families were Musaceae, Araceae and Compositae, while the least was Alliaceae. A liking for certain species was also detected in families with more than one species investigated. Generally, the most used species were Bidens pilosa (Compositae) and Lycopersicon esculentum (Solanaceae). Interaction between the sex of the sandflies and the tested plants was minimal, suggesting that in most cases males and females had similar species likings. Sergentomyia ingrami fed more on two of the exotic species investigated.
Les performances trophiques de 3509 phlébotomes mâles et 4838 phlébotomes femelles de l'espéce Sergentomyia ingrami étaient examineés. Les Phlébotomes étaient nourris sur 46 espèces de plantes indigènes et exotiques appartenant à 21 families de plantes trouvées aux Kenya. Les résultats ont montré que certaines families de plantes étaient mieux utilisées que d'autres. Les families les plus utilisées étaient Musaceae, Araceae et Compositae, tandis que les Alliaceae ont constitué les plantes les moins utllisées. Aussi, une préférence chez certaines espèces de plantes était détectée dans certaines families ayant plus d'une espèce étudiée. Dans l'ensemble, les espèces de plantes les plus utilisées étaient Bidens pilosa (Compositae) et Lycopersicon esculentum (Solanaceae). L'interaction entre le sexe (de phlébotome) et les plantes testées était moindre, ceci suggére que dans la plupart des cas, les phlébotomes mâles et femelles avaient une préférence similaire pour les même espèces de plantes. S. ingrami se nourrit plus sur 2 des espèces de plantes exotiques étudiées.