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Article contents
Savoir que l’on sait. La question de la transparence dans les attitudes épistémiques
Published online by Cambridge University Press: 01 September 2009
Abstract
ABSTRACT: In this paper, I revisit arguments for and against various theses concerning higher-order knowledge in order to fully gauge their impact on the principles of positive and negative introspection. I argue that the expression “knowing that one knows” has at least two salient understandings: the more common one, labelled “transparentist”, validates the principle of positive introspection, while the other which is less common, labelled “agrippean”, supports some of the arguments against this principle.
RÉSUMÉ : Dans cet article, je réévalue les arguments pour et contre certaines thèses concernant la connaissance d’ordre supérieur afin d’évaluer leur portée réelle sur les principes d’introspection positive et négative. Je défends l’idée que la locution «savoir que l’on sait» possède au moins deux interprétations notoires : l’une, plus courante, dite «transparentiste», valide le principe d’introspection positive et l’autre, moins courante, dite «agrippéenne», endosse certaines critiques de ce principe.
- Type
- Articles
- Information
- Dialogue: Canadian Philosophical Review / Revue canadienne de philosophie , Volume 48 , Issue 3 , September 2009 , pp. 451 - 478
- Copyright
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