Published online by Cambridge University Press: 29 November 2010
Data from the 1986/87 Health and Activity Limitation Survey (HALS) were used to examine the relationship between reported disabilities and institutionalization. Odds ratios obtained through logistic regression analyses were utilized to estimate the strength and direction of the associations between the various disabilities, age, gender, and institutionalization. An analysis of types and combinations of disabilities which are most strongly associated with institutionalization indicate that persons with disabilities regarding agility, mental functioning or speech have higher odds of institutionalization. The analyses of the relationship between number of disabilities and institutionalization suggest an exponential relationship, a greater rate of institutionalization with age and a higher rate for women than for men.
Les données de l'Enquête sur la santé et les limites aux activités (ESLA) de 1986–1987 ont été utilisées afin d'étudier la relation entre les déficiences signalées et le placement en établissement. Des rapports de probabilité obtenus au moyen d'analyses de régression logistique ont été utilisés afin de déterminer la force et l'orientation des liens entre les diverses déficiences, l'âge, le sexe et le placement en établissement. Une analyse des types et des combinaisons de déficiences, qui sont le plus étroitement associées au placement en établissement, révèle que les personnes ayant certaines déficiences au plan de la souplesse, des fonctions mentales ou d'élocution risquent davantage d'être placées dans un établissement de soins de longue durée. Une analyse de la relation entre le nombre de déficiences et le placement suggère une relation exponentielle, un taux plus élevé de placements en établissement avec l'âge, et un taux supérieur chez les femmes que chez les hommes.