Published online by Cambridge University Press: 31 March 2010
Two challenges facing nursing-home care today are understanding the concept of quality of life as it relates to cognitively impaired residents and finding effective ways to ensure that it is achieved. Canadian director Allan King's documentary, Memory for Max, Claire, Ida and Company, filmed at Baycrest, captures a method for enhancing the quality of life of six cognitively impaired residents. While the film suggests an intervention model implemented by volunteers, there are challenges unique to institution-based programs (i.e., the recruitment and retention of volunteers). One of the challenges is the fear that volunteers may experience when interacting with the cognitively impaired. We conducted a pilot study of a model for training volunteers to provide friendly visiting and evaluated the impact on the participating residents. Observational accounts of volunteer–resident interactions and seven volunteer interviews were analysed and yielded several themes—(a) relationship building, (b) contribution of the environment, (c) preserving personhood, (d) resident-centred presence and the quality of the moment—and several themes related to the volunteers' role and their perceived impact on the residents. Discussed are the implications for volunteer programs in long-term health care settings.
Aujourd'hui les soins médicaux en maisons de santé sont confrontés à la compréhension du concept de « qualité de vie » puisqu'ils touchent des personnes atteintes de déficits cognitifs, et à la recherche de moyens permettant l'application de ce concept. Le documentaire du réalisateur canadien Allan King, intitulé Memory for Max, Claire, Ida and Company (Mémoire pour Max, Claire, Ida et compagnie), filmé à Baycrest, dépeint une méthode utilisée pour améliorer la qualité de vie de six résidants atteints de déficits cognitifs. Bien que le film montre un modèle d'intervention effectué par des volontaires, il souligne aussi les problèmes spécifiques aux programmes d'intervention dans les établissements de santé, c'est à dire recruter et garder les volontaires. La peur que les volontaires peuvent éprouver en interagissant avec les personnes atteintes de déficits cognitifs représente un grand défit. Nous avons conduit une étude pilote sur un modèle de formation de volontaires qui vise à assurer une « visite sympathique » et avons étudié les effets obtenus sur les résidants ayant participé à l'étude. Les données concernant l'observation des interactions entre volontaires et résidants ainsi que sept interviews de volontaires ont été analysées et donnent lieu à plusieurs thèmes: a) la création des relations volontaires-résidants, b) l'effet de l'environnement, c) la préservation de l'intégrité de la personne, d) la nécessité d'être centré sur les besoins et la qualité du moment des résidants, ainsi que plusieurs autres thèmes liés au rôle des volontaires. L'implication de ces résultats pour les programmes de volontaires dans les établissements de santé à long terme est discutée.
The authors would like to thank Julie Rice, Rosanne Chan, and Sabine Doebel for their assistance with this project.