Published online by Cambridge University Press: 29 March 2016
To date, associations between psychosocial driving variables and behaviour have been examined only cross-sectionally. Using three waves of data collected annually from 928 older drivers (mean age = 76.21 years; 62% male) enrolled in the Candrive II cohort, we examined in this study whether changes in attitudes and perceptions towards driving (decisional balance and day and night driving comfort) were associated with changes in older adults’ reported restrictions in driving practices and perceived driving abilities. Multi-level models revealed that older adults who showed an increase in negative attitudes towards driving over time were more likely to report more-restricted practices (greater avoidance of challenging driving situations) and perceived declines in driving abilities compared to individuals whose attitudes towards driving remained stable across two years. This work supports previous findings and offers a new understanding of how attitudes relate to driving perceptions (e.g., comfort) and self-regulation in older adults over time.
Les associations entre les variables psychosociaux et les comportements de conduite ont été examinés seulement en coupe transversale à ce jour. Dans cette étude, nous avons utilisé trois vagues de données recueillies chaque année de 928 conducteurs âgés (âge moyen = 76.21 ans; 62% d'hommes) s'inscrits pour la cohorte Candrive II, afin de déterminer si des changements dans les attitudes et les perceptions à l'égard de conduire (l'équilibre décisionnel et le confort à la conduite de jour comme de nuit) ont été associés à des limitations à la conduite rapportées chez les aînés et de leurs capacités perçues à conduire. Des modèles à plusieurs niveaux ont révélé que plus de personnes âgées qui ont montré une augmentation des attitudes négatives à l'égard de conduite étaient plus susceptibles de déclarer la pratique de plus en plus restreinte (on évite souvent des situations difficiles de conduite) et des baisses perçues dans la capacité de conduire, par rapport aux individus dont les attitudes envers la conduite restaient stable au cours de deux années. Ce travail confirme les résultats précédents et offre une nouvelle compréhension de la façon dont les attitudes ont trait aux perceptions de conduite (c'est-à-dire, le confort), et l'auto-régulation chez les personnes âgées au fil du temps.