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Published online by Cambridge University Press: 16 January 2025
PRKN-related parkinsonism represents one of the most common types of genetically determined Parkinson’s disease (PD). However, the literature among the Asian ethnicity, particularly in the Indian context, is limited.
To study the clinico-genetic profile of patients with PRKN-related parkinsonism and to review the previously reported cases of PRKN-related parkinsonism from Asia.
A retrospective chart review from a tertiary neurology centre of patients with genetically confirmed PRKN-related parkinsonism. Additionally, we consolidated the Asian cohort from a detailed systematic review of the literature. We utilised the Movement Disorders Society gene cohort for comparison with the world literature.
We recruited 16 cases (males = 10, Early onset Parkinson disease (21 to <50 years age at onset)) of PRKN-related parkinsonism with a median age at onset of 28.5 years (range 14–46). Symptoms included parkinsonism (n = 15), dystonia (n = 10), postural instability (n = 7), freezing of gait (n = 5) and non-motor symptoms (NMS) (n = 10). The commonest symptom at onset was tremors (n = 10). Levodopa responsiveness was observed in all cases with drug-induced dyskinesia in eight (50%). Thirteen cases were homozygous, while three were compound heterozygotes, resulting in 19 variants (novel = 5). Exon deletion was the most common (n = 12). The extended Asian cohort comprising 294 cases had a high prevalence of EOPD (n = 186/257, 72.4%) and familial cases (n = 166/252, 65.9%). Deletion/duplication was the common mutation detected (n = 215, 73.1%). The presumed familial cases had a significantly higher frequency of rest tremors, bradykinesia, postural instability, NMS, dyskinesia and sleep disorders.
This largest single-centre study from India adds 16 new cases and five novel variants to PRKN literature. In addition, it consolidates the Asian cohort of PRKN elucidating its unique attributes.
Le parkinsonisme lié au gène PRKN : expérience au sein d’un centre de neurologie tertiaire et revue de la littérature portant sur une cohorte de patients d’origine asiatique
Bien que le parkinsonisme lié au gène PRKN (PARK-PRKN) représente l’un des types les plus courants de la maladie de Parkinson (MP) d’origine génétique, la littérature scientifique concernant des patients asiatiques, en particulier dans le contexte indien, est moins bien définie.
Étudier le profil clinique et génétique des patients atteints de PARK-PRKN et passer en revue les cas de PARK-PRKN précédemment rapportés en Asie.
Conduire un examen rétrospectif des dossiers de patients d’un centre de neurologie tertiaire présentant un PARK-PRKN confirmé génétiquement. En outre, nous avons consolidé cette cohorte de patients asiatiques à partir d’une revue systématique et détaillée de la littérature. Nous avons notamment utilisé la cohorte génétique de la Movement Disorders Society (MDS) pour la comparer à la littérature mondiale.
Nous avons retenu 16 cas de PARK-PRKN (hommes = 10, FPMP-13) dont l’âge médian d’apparition chez les patients était de 28,5 ans (intervalle 14-46). Les symptômes comprenaient le parkinsonisme (n = 15), la dystonie (n = 10), l’instabilité posturale (n = 7), le gel de la marche (n = 5) et des symptômes non moteurs (n = 10). Le symptôme le plus fréquent au début de la maladie était les tremblements (n = 10). Une réponse à un traitement de lévodopa a été observée dans tous les cas, avec une dyskinésie induite par le médicament dans 8 cas (50 %). Fait à noter, 13 cas étaient homozygotes et 3 autres étaient des hétérozygotes composés, ce qui a donné lieu à 19 variantes (nouvelle = 5). La délétion d’exon était la plus fréquente (n = 12). De plus, la cohorte asiatique élargie, composée de 294 cas, présentait une prévalence élevée de la forme précoce de la maladie (n = 186/257, 72,4 %) et de cas familiaux (n = 166/252, 65,9 %). La délétion/duplication était la mutation la plus fréquemment détectée (n = 215, 73,1 %). Enfin, des cas présumés familiaux présentaient une fréquence significativement plus élevée de tremblements au repos, de bradykinésie, d’instabilité posturale, de symptômes non moteurs, de dyskinésie et de troubles du sommeil.
Cette étude monocentrique la plus importante réalisée en Inde ajoute 16 nouveaux cas et 5 nouvelles variantes à la littérature portant sur le PARK-PRKN. En outre, elle consolide la cohorte de patients asiatiques atteints de PARK-PRKN en élucidant ses caractéristiques uniques.
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