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Published online by Cambridge University Press: 23 May 2013
1 Andrei Marmor, Philosophy of Law.
2 Ibid., 11.
3 Ibid., 2.
4 Ibid., 7.
5 Marmor rappelle qu’il existe plusieurs types d’explications réductives pertinentes pour différents domaines d’études. Il précise ensuite, en notes de bas de page, que « [t]he type of reduction more relevant to legal theory is constitutive or metaphysical: the idea of a metaphysical reduction is to show that a distinct type of phenomenon is actually constituted and fully explicable by a different, more foundational, type of phenomenon or set of facts ». Marmor, Philosophy of Law,12 (nbp 1).
6 Hans Kelsen, « Pure Theory of Law », 2e édition, traduit de l’allemand par Max Knight (Berkeley: University of California Press, 1983).
7 La théorie de la sanction de John Austin peut se résumer grossièrement en trois points : (1) le droit est un commandement issu du souverain; (2) ce commandement est soutenu par une menace; et (3) le souverain est celui qui est habitué d’être obéi de tous et de n’obéir qu’à lui-même. Voir l’œuvre phare de John Austin, The Province of Jurisprudence Determined, édité par Wilfrid E. Rumble (Cambridge: Cambridge University Press, 1995).
8 « Outre le fait que pour Bentham la souveraineté n’est ni illimitée (le souverain devant obéir à certaines prescriptions) ni indivisible (comme le montre le fédéralisme moderne), son modèle n’a pas cette allure purement pénale de celui de Austin et englobe dans le concept de loi l’ordre judiciaire, administratif, voire domestique et familial, et relie au pouvoir de la loi le droit pour le particulier de posséder et d’aliéner sa propriété et sa capacité de conclure des contrats ». François Chevrette et Hugo Cyr, « De quel positivisme parlez-vous? » (2007) dans Louise Rolland et Pierre Noraud, Mélanges Andrée Lajoie (Montréal : Thémis, 2008), 8. Voir Jeremy Bentham, Introduction to the Principles of Morals and Legislation (1789), édité par J. H. Burns et H. L. A. Hart (Oxford: Oxford University Press, 1970).
9 L’œuvre phare de H. L. A. Hart est The Concept of Law, 2e edition, édité par Joseph Raz et Penelope Bulloch (Londres: Clarendon Press, 1994).
10 Marmor, Philosophy of Law, 78.
11 Ibid., 82.
12 Chevrette et Cyr, « De quel positivisme parlez-vous? », 10.
13 Marmor, Philosophy of Law, 61.
14 Stefan Sciaraffa mentionne cependant que l’idée d’une raison indépendante de son contenu a été introduite par Hart lui-même lors d’une discussion sur les promesses. H. L. A. Hart, « Legal and Moral Obligation », dans Essays in Moral Philosophy, dir. A. I. Melden (Seattle: University of Washington Press, 1958),102, cité dans Stefan Sciaraffa, « On Content-Independent Reasons: It’s Not in the Name », Law and Philosophy 28 (2009): 233.
15 Marmor, Philosophy of Law, 83.
16 Julie Dickson, Evaluation and Legal Theory (Londres: Hart Publishing, 2001).
17 W. V. O. Quine, « Two dogmas of empiricism », The Philosophical Review 60 (1951): 20. Dans cet article, Quine avance qu’il n’existe pas de distinction réelle entre des affirmations sociales « vraies en vertu de leur sens » et « vraies en vertu des faits ». Il n’y a que des affirmations que, pour des raisons socio-historiques, nous ne sommes pas prêts à rejeter même devant des preuves empiriques récalcitrantes, et d’autres que nous rejetons dans les mêmes conditions.
18 Frank Jackson, From Metaphysics to Ethics: A Defence of Conceptual Analysis (New York: Oxford University Press, 1998).
19 Brian Leiter, « Beyond the Hart/Dworkin Debate: The Methodology Problem in Jurisprudence », American Journal of Jurisprudence 48 (2003): 17.
20 Voir par exemple Andrei Marmor, Social Conventions : From language to law (Princeton University Press: Princeton, 2009), ou encore Andrei Marmor, « Legal conventionalism », dans Hart’s Postscript: Essays on the Postscript to the Concept of Law, dir. Jules Coleman (New York: Oxford University Press, 2005), 193.