Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Traps consisting of open, cylindrical tins containing moistened clay aggregates were evaluated as field oviposition sites for corn rootworm, Diabrotica spp. Six trap features were investigated: clay aggregate size, water saturation level, trap opening, trap cover, trap volume, and trap position relative to corn plants. More eggs were recovered in traps containing clay aggregates ranging from 0.5 to 3.5 mm diameter compared with aggregates from 2.5 to 8.0 mm diameter. Saturation of the trap to 2.5 cm from the opening resulted in greater egg recovery compared with traps saturated to 6.0 cm from the opening. Covering the exposed surface of the trap with a metal ring and/or a corn leaf increased egg recovery in the field.
Oviposition traps were placed in four commercial corn fields in 1990 and three in 1991 to monitor egg populations. Egg recovery from traps and estimates of the absolute egg population in the soil were compared with densities of adult corn rootworm to predict larval damage on roots of corn planted the next year. In five fields, adult populations were above the current economic threshold of one beetle per plant. However, economic damage to roots occurred only in the field in which the most eggs were recovered from traps (226.6 eggs per trap) and soil samples (30.2 eggs per litre). Mean egg recovery per trap per field was correlated with mean damage ratings from untreated corn.
Des pièges fabriqués de boîtes de fer blanc cylindriques ouvertes et contenant des boulettes d’argile humide ont été installés dans des champs de maïs et leur efficacité à attirer des Chrysomèles des racines du maïs, Diabrotica spp. au moment de la ponte a été évaluée. Six caractéristiques particulières ont été examinées : taille des boulettes d’argile, degré de saturation en eau, ouverture, couverture et volume du piège, position du piège relativement aux plants de maïs. Les pièges contenant des boulettes d’argile de 0,5 à 3,5 mm de diamètre ont recueilli plus d’oeufs que les pièges garnis de boulettes de 2,5 à 8,0 mm de diamètre. Les pièges saturés d’eau jusqu’à 2,5 cm de l’ouverture ont donné plus d’oeufs que les pièges saturés d’eau jusqu’à 6,0 cm de l’ouverture. Les pièges recouverts d’un anneau de métal et (ou) d’une feuille de maïs sur la surface exposée ont donné plus d’oeufs.
Des pièges ont été placés dans quatre cultures commerciales de maïs en 1990 et trois cultures en 1991 dans le but de mesurer les populations d’oeufs. Le nombre d’oeufs obtenus dans les pièges et l’estimation des populations absolues d’oeufs dans le sol ont été comparés aux densités de chrysomèles adultes, ce qui a permis de prédire les dommages éventuels causés par les larves aux racines du maïs planté l’année suivante. Dans cinq des champs, les populations adultes dépassaient le seuil économique d’un chrysomèle par plant. Cependant, les dommages aux racines n’ont atteint le seuil économique que dans le champ où les pièges (226,6 oeufs par piège) et les échantillons de sol (30,2 oeufs par litre) contenaient le plus d’oeufs. Le nombre moyen d’oeufs par piège par champ était en corrélation avec les taux moyens de dommage dans les champs de maïs non traités.
[Traduit par la Rédaction]