Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Sex pheromone-mediated mating disruption was used to control the grape berry moth, Endopiza viteana (Clemens) (Lepidoptera: Tortricidae), at two farms in the Niagara peninsula, Ontario, during three consecutive growing seasons, 1989 through 1991, to determine if earlier observed between-generation increases in the percentage of infested grape clusters would continue between growing seasons. The relative performance of the pheromone treatment was assessed by comparing the percentage of infested clusters in the pheromone-treated plot with the percentage of infested clusters in an adjacent, insecticide-treated plot. Although the percentage of infested clusters increased from 1.7- to 56.5-fold between successive generations in the pheromone-treated plots, there was no indication that the level of infestation at harvest affected the level of infestation the following spring. At one farm, the percentage of infested clusters was greater in the pheromone-treated than in the insecticide-treated plot during 1989, but during 1990 and 1991, the level of infestation was similar in the two plots. At the other farm, the level of infestation was from 2- to 3-fold greater in the insecticide-treated than in the pheromone-treated plot.
Un traitement à la phéromone sexuelle a été utilisé pour inhiber les accouplements chez des Tordeuses de la vigne, Endopiza viteana (Clemens) (Lepidoptera : Tortricidae) sur deux fermes de la péninsule de Niagara, Ontario, au cours de trois saisons consécutives de croissance, de 1989 à 1991; l’expérience avait pour but de déterminer si le pourcentage de grappes de raisins infectées continuerait d’augmenter d’une génération à l’autre comme précédemment. L’efficacité relative du traitement a été évaluée en comparant le pourcentage de grappes infectées dans une grille traitée à la phéromone au pourcentage de grappes infectées dans une grille adjacente traitée au moyen d’un insecticide. Bien que le pourcentage de grappes infectées ait augmenté de 1.7 à 56,5 fois d’une génération à la suivante dans les grilles traitées à la phéromone. il n’y avait aucune indication que ce taux d’infestation au moment de la récolte affectait le taux d’infestation au printemps suivant. À Tune des fermes, le pourcentage de grappes infestées était plus élevé dans la grille traitée à la phéromone que dans la grille traitée à l’insecticide en 1989 mais en 1990 et 1991, les taux d’infestation étaient les mêmes dans les deux grilles. À l’autre ferme, le taux d’infestation était de 2 à 3 fois plus élevé dans la grille traitée à l’insecticide que dans la grille traitée à la phéromone.
[Traduit par la rédaction]