Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Cypermethrin was tested at nine dosages from 2 to 72 g AI/ha and at five temperatures from 15 °to 35 °C against second-instar nymphs of a non-diapause strain of the migratory grasshopper, Melanoplus sanguinipes (Fab.). At lower dosages, mortality increased with increasing temperatures from 15 °to 30 °C and then leveled off. At dosages of 12 g AI/ha or higher, mortality increased slightly with increasing temperature from 15 °to 20 °C, then declined at higher temperatures. Cypermethrin was about 2.2 times less toxic (LD50) at 35 °C than at 15 °or 20 °C and 70% of this reduction in toxicity occurred above 25 °C. Thus, the toxicity of cypermethrin was negatively correlated with temperature above 20 °C for nymphs of the migratory grasshopper.
On a testé la cyperméthrine à neuf doses de 2 à 72 g de m.a./ha et à cinq températures de 15 à 35 °C contre les nymphes de 2e stade d'une lignée sans diapause du petit criquet voyageur, Melanoplus sanguinipes. Aux faibles doses, la mortalité augmente avec l'élévation des températures de 15 à 30 °C et atteint ensuite un plateau. Aux doses de 12 g de m.a./ha ou plus, la mortalité augmente légèrement avec la température de 15 à 20 °C, pour ensuite régresser aux températures plus élevées. La cyperméthrine est environ 2.2 fois moins toxique (DL50) à 35 °C qu'à 15 ou 20 °C et 70% de cette baisse de toxicité survient au-dessus de 25 °C. La toxicité de la cyperméthrine est donc négativement corrélée à la température au-dessus de 20 °C pour les nymphes du petit criquet voyageur.