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ASSESSING THE SUSCEPTIBILITY OF WHITE FIR TO THE FIR ENGRAVER, SCOLYTUS VENTRALIS LEC. (COLEOPTERA: SCOLYTIDAE), USING FUNGAL INOCULATION
Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Abstract
A method of assessing susceptibility of white fir, Abies concolor (Gord. and Glend.) Lindl., by fungal inoculation was tested during an outbreak of the fir engraver beetle, Scolytus ventralis LeC., at Lake Tahoe, California, in 1987 through 1989. A total of 592 firs growing in six forest stands containing trees infested by the beetle were inoculated with the mutualistic fungus, Trichosporium symbioticum Wright. Six weeks later, reaction wounds were characterized by vertical length and resin concentration. After 2 years, 196 (33.1%) of the test firs had been killed by the beetle. Reaction lengths tended to be greater and resin concentrations lower in test firs that died than in those that survived, but predictive accuracy of the wound variables was inadequate on either an individual tree or a stand basis. On an individual tree basis, discriminant functions using either or both of these reaction wound variables as predictors produced overall percentages of correct classification little higher than would be obtained by predicting that all test firs would survive. On a stand basis, regression models using stand means for the wound variables and white fir basal area as predictors statistically explained more than 95% of observed variation in basal area of white fir killed, but another model using only basal area of white fir as a predictor performed nearly as well.
Résumé
Une méthode d’évaluation de la sensibilité du Sapin concolore (Gord. et Glend.) Lindl. basée sur l’inoculation de champignons a été éprouvée durant une épidémie de scolytes Scolytus ventralis LeC. au lac Tahoe, Californie, de 1987 à 1989. Au total, 592 sapins situés en six boisés affectés par le scolyte ont reçu des inoculations du champignon mutualiste Trichosporium symbioticum Wright. Six semaines plus tard, les réactions étaient caractérisées par des blessures dont on a mesuré la longueur à la verticale et la concentration de résine. Après 2 ans, 196 (33,1%) des sapins examinés avaient été tués par le scolyte. La longueur des blessures avait tendance à être plus grande et les concentrations de résine, plus faibles, dans les sapins qui sont morts que dans ceux qui ont survécu, mais l’exactitude des variables reliées aux blessures ne permettait pas de faire de généralisations, ni à l’échelle individuelle, ni à l’échelle du boisé. À l’échelle individuelle, lorsque les fonctions discriminantes basées sur l’une ou l’autre de ces variables ou sur les deux à la fois étaient utilisées comme indices, les pourcentages globaux de classification juste étaient à peine plus élevés que la valeur théorique obtenue en supposant que tous les arbres survivraient. À l’échelle du boisé, les modèles de régression basés sur les moyennes des variables reliées aux blessures et sur la surface basale des sapins expliquaient statistiquement plus de 95% de la variation observée sur la surface basale des sapins tués, mais un autre modèle basé uniquement sur la surface basale des sapins comme indice a donné des résultats presque aussi bons.
[Traduit par la rédaction]
- Type
- Articles
- Information
- Copyright
- Copyright © Entomological Society of Canada 1993
References
- 6
- Cited by