Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
Resistance of horn fly, Haematobia irritans (L.), to fenvalerate and permethrin was evaluated in Manitoba from 1987 to 1989. The number of resistant populations and the intensity of resistance increased during the period. In 1987, resistant flies were observed on three of 18 herds sampled. Resistance, determined by comparison with a susceptible strain at the LC50, was less than 6-fold for fenvalerate and 3-fold for permethrin except for one population whose resistance was 14-fold for permethrin. In 1988, resistant flies were observed on six of 26 herds sampled. Resistance ranged from 0.03- to 38-fold for fenvalerate and 0.1- to over 100-fold for permethrin. In 1989, resistant flies were found on 10 of 22 herds sampled. Resistance ranged from 1- to 62-fold for fenvalerate and 0.8- to over 100-fold for permethrin. Resistant populations were interspersed among susceptible ones.
La résistance de la Mouche des cornes, Haematobia irritans (L.), au fenvalérate et à la perméthrine a fait l’objet d’une évaluation au Manitoba de 1987 à 1989. Le nombre de populations résistantes et l’intensité de la résistance a augmenté au cours de cette période. En 1987, des mouches résistantes ont été observées chez trois des 18 troupeaux échantillonnés. La résistance, déterminée par comparaison de la concentration LC50 à celle d’une souche sensible (valeur étalon), était moins de 6 fois plus élevée que la valeur étalon dans le cas du fenvalérate et 3 fois plus élevée dans le cas de la perméthrine, sauf chez une population qui était 14 fois plus résistante à la perméthrine. En 1988, des mouches résistantes ont été observées dans six des 26 troupeaux examinés. La résistance était de 0,03 à 38 fois plus élevée que la valeur étalon dans le cas du fenvalérate, et de 0,1 à plus de 100 fois plus élevée dans le cas de la perméthrine. En 1989, des mouches résistantes ont été trouvées dans 10 des 22 troupeaux examinés. La résistance variait de 1 à 62 fois plus élevée que la valeur étalon dans le cas du fenvalérate et de 0,8 à plus de 100 fois plus élevée dans le cas de la perméthrine. Les populations résistantes étaient réparties parmi les populations sensibles.
[Traduit par la rédaction]