Published online by Cambridge University Press: 31 May 2012
The relationship between the density of insect holes in the bark (X1) and the density of emerged mountain pine beetles (Y) was investigated in naturally infested lodgepole pine in south-central British Columbia. The density of exit and ventilation holes (Ho) that were present in the bark prior to emergence by mountain pine beetle averaged 10% of all holes present following the emergence period. There was a weak but significant inverse relationship between Ho and both phloem thickness and density of emerged mountain pine beetles. Painting the bark with light-color latex paint did not affect survival or the temporal pattern of emergence by mountain pine beetle but ensured identification and greatly enhanced counting of fresh exit holes. Of the several regression models investigated, the relation between Y and both X1 and X2 (= X1 – Ho) was best fitted by a log-log linear model. A method is suggested for setting limits on the size of exit holes cut by mountain pine beetle in order to exclude from X2 much of the variation caused by exit holes cut by associated insects. A simple mathematical model was developed of the relationship between mean density of exit holes and the density of emerged mountain pine beetles.
On a étudié le rapport entre la densité des trous d'insectes dans l'écorce (X1) et la densité des dendroctones du pin ponderosa sortis (Y) dans des pins tordus du centre-sud de la Colombie-Britannique naturellement infestés. Le nombre de trous de sortie et d'aération (Ho) présents dans l'écorce avant l'émergence des dendroctones équivalait en moyenne à 10% de tous les rous observés après la période d'émergence. On a constaté un rapport inverse, faible mais significatif, entre Ho, d'une part, et l'épaisseur du phloème et la densité des dendroctones sortis d'autre part. L'application d'une peinture au latex de couleur claire sur l'écorce n'a pas modifié la survie ni les caractéristiques temporelles de l'émergence du dendroctone et a permis de reconnaître les trous de sortie nouvellement percés et de les compter beaucoup plus facilement. Plusieurs modèles de régression ont été essayés, mais c'est le modèle logarithmique-linéaire qui convenait le mieux au rapport entre Y et X1, et entre Y et X2 c'est-à-dire, X1 – Ho). On propose une facon d'établir des limites pour la dimension des trous de sortie du dendroctone du pin ponderosa afin d'éliminer une grande partie de la variation de X2 causée par les trous de sortie percés par les insectes qui accompagnent le dendroctone. On a mis au point un modèle mathématique simple du rapport entre la densité moyenne des trous de sortie et la densité des dendroctones du pin ponderosa sortis.