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Article contents
Abstract
- Type
- France : XIXe Siècle (Notes et Comptes Rendus)
- Information
- Copyright
- Copyright © Les Éditions de l’EHESS 1950
References
page 397 note 2. Giqnotjx, C-J., Restaurations (1814-1821), Paris, Robert Laffont, 1947, in-8°, 361 p.Google Scholar L'auteur affirme que « Louis XVI avait tout [fait pour empêcher » la guerre en 1792 (p. 35). Il fait succéder Paul I “ à Alexandre I ” en 1825 (p. 319).
page 397 note 3. Signalons la publication récente, par LÉVis-mirepoix, Emmanuel De, de la Correspondance de la marquise de Montcalm (Paris, Éditions du Grand Siècle, 1949).Google Scholar
page 398 note 1. Nouveaux Lundis, t. IV, p . 238. Cf. Maxime Leroy; La pensée de Sainte-Beuve, et surtout La politique de Sainte-Beuve (1940 et 1941).
page 398 note 2. Il faut ici renvoyer à la Correspondance et surtout au Courrier anglais (les 5 vol. de l'édition d'Henri Martineau). Cf. Dollot, René, Stendhal journaliste (Paris, Mercure de France, 1948).Google Scholar Nous y reviendrons prochainement.
page 398 note 3. Article cité. M. Gignoux affirme encore (p. 314) qu'on trouve « peu de trace de la joie profonde qu'un tel événement (la libération de 1818) eût dû susciter ». Or le baron de Frimont, commandant autrichien des troupes d'occupation, soulignait au début de 1818 que, « depuis le Discours du trône annonçant la prochaine évacuation, les dispositions des habitants vis-à-vis des troupes d'occupation avaient changé, que plusieurs différends s'étaient produits entre les soldats étrangers et les habitants des campagnes, entre les soldats étrangers et les officiers français à demi-solde… » (L. DE Crousaz-cretbt, Le duc de Richelieu, 1897, p. 264). Laîné écrivait au préfet du Haut-Rhin (1e r avril 1818) : « Je n'ai pas besoin de vous faire sentir de quel fâcheux effet seraient ces dispositions lorsque le moment est venu où, conformément aux traités, nous commençons des négociations qui peuvent amener le départ des troupes étrangères. Vous comprendrez quelles conséquences pourraient résulter de ce changement dans les esprits… » (Archives départementales du Haut-Rhin, M. 54.) « Il faut modérer plutôt qu'exciter la joie publique afin qu'elle ne dégénère pas en manifestations offensantes pour les étrangers », écrit Richelieu lui-môme (au Roi), un peu inquiet du trop bel enthousiasme des lettres reçues (J. Fouques-dupahg, Le troisième Richelieu, 1940, S- 131).