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Published online by Cambridge University Press: 25 May 2018
Plusieurs livres viennent d'être publiés en France en quelques années sur l'Algérie depuis 1830 : sauf un, celui d'E.Sivan, ils n'ont pas été écrits par des historiens, mais par des « politologues », des sociologues, des économistes ou des géographes. Faut-il les écarter du champ de réflexion de l'historien ? Si cela était, ce serait une erreur grave, car même s'ils ne reposent pas sur une documentation archivistique, leur apport est important et pose le problème de la relation entre la science politique, la sociologie et l'histoire, et plus particulièrement l'histoire contemporaine.
1. Dans un premier temps, je me limiterai aux ouvrages de Vatin, J.-C., L'Algérie politique. Histoire et société, Paris, 1974 ;Google Scholar Leca, J. et Vatin, J.-C., L'Algérie politique. Institutions et régime, Paris, 1975 ;Google Scholar Etienne, B., L'Algérie, culture et révolution, Paris, 1977..Google Scholar
2. Les indications dont nous disposons ne nous permettent pas de poser le problème en termes de classes, selon la terminologie marxiste.
3. G. Viratelle, L'Algérie algérienne, 2e éd.
4. M. Brogini, L'exploitation des hydrocarbures en Algérie, 1956-1971, Nice, 1973, thèse de 3e cycle.
5. L'Algérie, culture et révolution, Paris, 1977.
6. Et d'abord évidemment : pourquoi H. Boumediene a-t-il pris le pouvoir le 19 juin 1965 ? Sur ce seul point, il nous est impossible de fournir une réponse satisfaisante.
7. De quelques aspects juridiques de la dépendance, le cas de la législation coloniale française en Algérie, « Rapports de dépendance au Maghreb », dans Annuaire d'Afrique du Nord, 1970.